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Kim Jong un


L'amateur

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Il y a 5 heures, Fantome a dit :

Tu vois, les autres pays que tu considères comme méchant utilisent les memes raison que tu viens d'enumerer pour arrêter et foutre en prison leurs détracteurs. Par contre, ici c'est justifiable, tu as juste a être qualifié de complotiste ou inciter a la haine !  Ca exactement ce que l'Occident condamne dans les pays méchant avec l'aide des medias ! 

Non. Tu confond deux trucs là.

Les autres pays font disparaitre leurs opposants politiques. PP et Maxime Bernier sont encore bien présents.
 

Il y a une façon de s'opposer au pouvoir si on est pas d'accord, c'est ce qui nous distingue. Cette façon n'implique pas la prise d'otages, les menaces et la violence. Lorsqu'il y a prise d'otages, menaces ou violence, oui, ces gens devraient faire face à la justice.

Comparer notre premier ministre a un dictateur, c'est faire une montagne avec un grain de sable. Les opposants politiques du parti fédéral actuel sont encore bien en vie et en santé. Tu peux ne pas être d'accord avec notre gouvernement, mais comparer notre démocracie à une dictature parce que ça ne fait pas ton bonheur, c'est une fausse comparaison qui ne mérite aucune considération.

Justement, l'opposant politique de poutine a écopé de 19 ans de prison supplémentaire l'été dernier.

 

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il y a une heure, J-B a dit :

Non. Tu confond deux trucs là.

Les autres pays font disparaitre leurs opposants politiques. PP et Maxime Bernier sont encore bien présents.
 

Il y a une façon de s'opposer au pouvoir si on est pas d'accord, c'est ce qui nous distingue. Cette façon n'implique pas la prise d'otages, les menaces et la violence. Lorsqu'il y a prise d'otages, menaces ou violence, oui, ces gens devraient faire face à la justice.

Comparer notre premier ministre a un dictateur, c'est faire une montagne avec un grain de sable. Les opposants politiques du parti fédéral actuel sont encore bien en vie et en santé. Tu peux ne pas être d'accord avec notre gouvernement, mais comparer notre démocracie à une dictature parce que ça ne fait pas ton bonheur, c'est une fausse comparaison qui ne mérite aucune considération.

Justement, l'opposant politique de poutine a écopé de 19 ans de prison supplémentaire l'été dernier.

 

C’est juste une question de sémantique. Et Meng Wanzhou est un dossier très politique en plus d’être une commande de Washington. C’était la seule façon pour les ricains de ralentir Huawei dans sa techno 5G qui est drôlement plus avancée et beaucoup moins dispendieuse que celle des ricains et plus de prétendre que c’est un grand danger d’espionnage et surtout pour empêcher les compagnies internationales de fournir les puces des téléphones Huawei qui avaient clairement pris le marché. Dans les pays de l’Occident comme les US par exemples il y a environ 100 prisonniers politiques et si ça continue Trump deviendra le 101 et sera le seul connu car les autres n’existent pas LOL. Bon maintenant si ça vous fait plaisir de croire que l’occident est sans taches et a l’abri des extrêmes c’est normal et c’est très démocratique. Dans une démocratie le peuple pense participer au pouvoir avec son vote un fois aux quatre ans et après s’obstine entre eux pendant ce 4 ans c'est pas mal comme a travers la planète peu importe le système politique en place  !  

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il y a 5 minutes, Fantome a dit :

C’est juste une question de sémantique. Et Meng Wanzhou est un dossier très politique en plus d’être une commande de Washington. C’était la seule façon pour les ricains de ralentir Huawei dans sa techno 5G qui est drôlement plus avancée et beaucoup moins dispendieuse que celle des ricains et plus de prétendre que c’est un grand danger d’espionnage et surtout pour empêcher les compagnies internationales de fournir les puces des téléphones Huawei qui avaient clairement pris le marché. Dans les pays de l’Occident comme les US par exemples il y a environ 100 prisonniers politiques et si ça continue Trump deviendra le 101 et sera le seul connu car les autres n’existent pas LOL. Bon maintenant si ça vous fait plaisir de croire que l’occident est sans taches et a l’abri des extrêmes c’est normal et c’est très démocratique. Dans une démocratie le peuple pense participer au pouvoir avec son vote un fois aux quatre ans et après s’obstine entre eux pendant ce 4 ans c'est pas mal comme a travers la planète peu importe le système politique en place  !  

C'est à peine cohérent ton truc tellement tu confond des choses qui n'ont aucun rapport.

Trump mérite tout ce qui lui arrive. J'argumenterais qu'il ne lui en arrive pas assez.

Huawei et le 5G c'est deux trucs. Un est une marque de téléphone, l'autre un réseau. Mon Iphone opère sur le 5G.

Les autres 100 prisonniers politiqurs dont tu me parles, je ne nie pas leur existance, mais je ne les connais pas non plus. Je n'argumenterai pas contre, j'y connais rien.

L'occident a clairement ses fautes, mais ce ne sont pas les mêmes fautes que les dictatures. Mon avis, c'est que les fautes de l'ouest existent par la complaisance de leurs peuples. Les fautes de la russie, de la chine, le la corée du nord, d'une grosse partie du moten orient existent parce que le peuple n'a pas son mot a dire. Tu t'enlignes, ou tu crève. C'est pas de la semantique ça, c'est un monde à part.

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il y a 50 minutes, Fantome a dit :

C’est juste une question de sémantique. Et Meng Wanzhou est un dossier très politique en plus d’être une commande de Washington. C’était la seule façon pour les ricains de ralentir Huawei dans sa techno 5G qui est drôlement plus avancée et beaucoup moins dispendieuse que celle des ricains et plus de prétendre que c’est un grand danger d’espionnage et surtout pour empêcher les compagnies internationales de fournir les puces des téléphones Huawei qui avaient clairement pris le marché. Dans les pays de l’Occident comme les US par exemples il y a environ 100 prisonniers politiques et si ça continue Trump deviendra le 101 et sera le seul connu car les autres n’existent pas LOL. Bon maintenant si ça vous fait plaisir de croire que l’occident est sans taches et a l’abri des extrêmes c’est normal et c’est très démocratique. Dans une démocratie le peuple pense participer au pouvoir avec son vote un fois aux quatre ans et après s’obstine entre eux pendant ce 4 ans c'est pas mal comme a travers la planète peu importe le système politique en place  !  

Meng Wanzhou n'a pas été mise en "house arrest" pour de la politique... On pourrait dire de la "diplomacie".

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il y a 11 minutes, vic130 a dit :

Meng Wanzhou n'a pas été mise en "house arrest" pour de la politique... On pourrait dire de la "diplomacie".

Pas vraiment, c'est une commande politique de Washington et du gouvernement ricain pour des raisons purement politiques qui concernait la guerre de commerce entre les US et la Chine. Pour les deux prisonnier Canadien c’est les diplomates qui ont essayé de les libérer.

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il y a une heure, J-B a dit :

C'est à peine cohérent ton truc tellement tu confond des choses qui n'ont aucun rapport.

Trump mérite tout ce qui lui arrive. J'argumenterais qu'il ne lui en arrive pas assez.

Huawei et le 5G c'est deux trucs. Un est une marque de téléphone, l'autre un réseau. Mon Iphone opère sur le 5G.

Les autres 100 prisonniers politiqurs dont tu me parles, je ne nie pas leur existance, mais je ne les connais pas non plus. Je n'argumenterai pas contre, j'y connais rien.

L'occident a clairement ses fautes, mais ce ne sont pas les mêmes fautes que les dictatures. Mon avis, c'est que les fautes de l'ouest existent par la complaisance de leurs peuples. Les fautes de la russie, de la chine, le la corée du nord, d'une grosse partie du moten orient existent parce que le peuple n'a pas son mot a dire. Tu t'enlignes, ou tu crève. C'est pas de la semantique ça, c'est un monde à part.

Faudrait peut-être que tu t'informe sur le dossier Huawei, Huawei fut la première compagnie a livrer une techno de le 5G en plus de livrer de techno de réseau 5G a très bas prix. Et en plus dominait le marché de téléphone cellulaire. Huawei avait une avance insurmontable sur le techno 5G américaine et sans vraiment se cacher la politique ricaine à tout simplement aider les compagnies de techno 5g ricaine à ne pas disparaitre. Rien n’est vraiment transparent et ce peu importe le pays ou le système. Tout ce qui se passe en occident est secret a part pour Trump et la même chose s’applique ailleurs, le reste n’est que le l’information diffusée par les médias qui cultivent notre haine contre des pays qui nous ne connaissons pas sur des gens qui nous ne connaissons pas et nous portes a faires des affirmations négatives sur ce que nous ne connaissons pas, ça donne à réfléchir !

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Quand on met au meme niveau un grain de sable et une montagne (comme J-B le dit si bien ) ... Il pas grand chose à ajouter

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Quand à la 5G .... le problème est que la chine a passée une loi - lui donnant full access aux données internes des entreprises - suite à cela, le 5G de la Chine fût boudé par plein de pays.

Par contre, la bataille avec Huawei est commerciale, géo-politique, et de vie privée - mais imaginons que la Chine va avoir, si elle le veut, acces à toutes les données qui se trouvent dans les cellulaires de Huawei - ainsi que toutes les infos dans les conversations, emails, données bancaires etc ...

Et pour éviter que les gens utilisent les cellulaires de Huawei - avec une porte d'acces en arriere, les Américains ont lancé la restriction sur certaines technologies sur les puces et les softwares américains. Et bien sûr ca a bien profité à Apple et à Samsung qui étaient entrain de se prendre une claque. La bataille avec Huawei est, je répète : commerciale, politique, et de vie privée (données sur les gens, les entreprises, les états)

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Puis la chine est allée encore plus loin 

lesaffaires.com

"

 

ANALYSE GÉOPOLITIQUE : Faire des affaires en Chine devient de plus en plus risqué pour les cadres d’entreprises étrangères, notamment en raison de la nouvelle loi anti-espionnage qui ratisse très large. On peut toujours s’y rendre dans certaines circonstances, mais il faut être très prudent, affirment deux spécialistes.

En fait, trois éléments rendent les voyages d’affaires en Chine plus complexes et dangereux, souligne un récent reportage du Wall Street journal (The New Rules for Business Travel in China), et ce, de l’utilisation des téléphones cellulaires aux douaniers chinois très curieux.

Il s’agit de la nouvelle loi anti-espionnage (qui entre en vigueur en juillet), des raids dans les firmes-conseils qui travaillent avec des entreprises étrangères, ainsi que du resserrement des flux d’information vers le monde extérieur à la Chine.

À propos de l’espionnage, la législation qui est en vigueur en Chine couvre seulement les infractions liées à des secrets d’État. Or, la version révisée par les autorités chinoises couvrira «toutes sortes de documents ou matériaux ayant un lien avec la sécurité nationale et les intérêts de l’État», souligne le magazine japonais Nikkei Asia.

Sans être directement lié à cette loi, le gouvernement du Canada recommande néanmoins actuellement aux Canadiens devant se rendre en Chine d’être très prudents. «Faites preuve d’une grande prudence», affirme l’avis consulaire d’Affaires mondiales Canada.

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À propos de l'espionnage, la législation qui est en vigueur couvre seulement les infractions concernant les secrets d’État. Or, la version révisée par les autorités couvrira «toutes sortes de documents ou matériaux ayant un lien avec la sécurité nationale et les intérêts de l’État», souligne le magazine japonais Nikkei Asia. (Photo: 123RF)

ANALYSE GÉOPOLITIQUE. Faire des affaires en Chine devient de plus en plus risqué pour les cadres d’entreprises étrangères, notamment en raison de la nouvelle loi anti-espionnage qui ratisse très large. On peut toujours s’y rendre dans certaines circonstances, mais il faut être très prudent, affirment deux spécialistes.

En fait, trois éléments rendent les voyages d’affaires en Chine plus complexes et dangereux, souligne un récent reportage du Wall Street journal (The New Rules for Business Travel in China), et ce, de l’utilisation des téléphones cellulaires aux douaniers chinois très curieux.

Il s’agit de la nouvelle loi anti-espionnage (qui entre en vigueur en juillet), des raids dans les firmes-conseils qui travaillent avec des entreprises étrangères, ainsi que du resserrement des flux d’information vers le monde extérieur à la Chine.

À propos de l’espionnage, la législation qui est en vigueur en Chine couvre seulement les infractions liées à des secrets d’État. Or, la version révisée par les autorités chinoises couvrira «toutes sortes de documents ou matériaux ayant un lien avec la sécurité nationale et les intérêts de l’État», souligne le magazine japonais Nikkei Asia.

Sans être directement lié à cette loi, le gouvernement du Canada recommande néanmoins actuellement aux Canadiens devant se rendre en Chine d’être très prudents. «Faites preuve d’une grande prudence», affirme l’avis consulaire d’Affaires mondiales Canada.

Les gens d’affaires d’ici ne peuvent pas non plus faire fi de la mésaventure que deux Canadiens, l'ancien diplomate Michael Kovrig et l'homme d'affaires Michael Spavor, ont vécue en Chine durant trois longues années.

En 2018, les autorités chinoises ont arrêté les deux hommes en représailles à l’arrestation d’une dirigeante de Huawei, à Vancouver, à la demande des États-Unis. Les deux Michael ont été finalement libérés en 2021.

Malgré tout, les cadres d’entreprises canadiennes peuvent toujours se rendre en Chine, mais ils doivent prendre de plus en plus de précautions, selon deux spécialistes interviewés par Les Affaires: Michel Juneau-Katsuya, ex-agent du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) et PDG de The NorthGate Group, une firme spécialisée dans l’évaluation du risque pour les entreprises, et Guy Saint-Jacques, ex-ambassadeur canadien en Chine et aujourd’hui fellow à l’Institut d’études internationales de Montréal (IEIM-UQAM).

«Ceux qui seront possiblement à risque sont ceux qui ont antérieurement travaillé dans le domaine militaire, la sécurité nationale et même dans les hautes sphères gouvernementales. Il est certain qu’il faut respecter les limites du visa et ne pas transgresser les notes de voyage», insiste Michel Juneau-Katsuya.

Les cadres canadiens doivent aussi tenir pour acquis que leurs appareils électroniques (ordinateurs, tablettes, cellulaires) seront fouillés ou «contaminés» en Chine — par des logiciels espions, par exemple.

«N’apportez que le strict nécessaire, qui pourra être jeté ou détruit au retour. Tenez pour acquis que vous serez surveillé et que vos effets personnels ou de chambre seront fouillés», dit l’ex-agent du SCRS.

À ses yeux, le fait que les relations diplomatiques soient actuellement tendues entre le Canada et la Chine accroît aussi le niveau de risques pour les Canadiens qui se rendent ou qui vivent en Chine.

«Comme les politiques canadiennes seront de plus en plus difficiles pour la Chine, il pourrait y avoir des représailles plus personnalisées. En tout cas, notre passeport et notre drapeau ne nous protègent plus autant qu’avant», déplore-t-il.

Pour sa part, Guy Saint-Jacques explique que la nouvelle loi anti-espionnage est particulièrement problématique — des Chambres de commerce étrangères en Chine l’ont d’ailleurs critiquée, car sa définition de la sécurité nationale est très large.

«Elle pourrait entraîner l’arrestation de représentants d’entreprises qui font des études de marché, surtout s’il s’agit d’un secteur que la Chine juge stratégique», souligne l’ex-ambassadeur canadien.

Selon divers rapports, ces secteurs stratégiques aux yeux de Beijing comprennent les voitures électriques, les nouvelles sources d’énergie, les technologies pour les infrastructures, les technologies de l’information et la robotique industrielle.

Aux yeux de Guy Saint-Jacques, la nouvelle loi anti-espionnage aura deux effets sur les multinationales actives en Chine.

D’une part, elle va restreindre le nombre de sociétés étrangères qui offrent des services-conseils sur le marché chinois, incluant les grandes firmes de comptabilité. D’autre part, elle va rendre plus difficile le processus de diligence appropriée lorsqu’une multinationale veut acquérir une entreprise chinoise.

Quant à la sécurité physique des gestionnaires canadiens en Chine, Guy Saint-Jacques estime que ce risque est relativement limité.

«La Chine n’arrête pas généralement des gens d’affaires, surtout s’ils créent de l’emploi en Chine. Elle arrête plutôt des gens travaillant pour des ONG (Michael Kovrig) ou dans des domaines que la Chine juge sensibles (Michael Spavor)», dit-il.

En revanche, tous les cadres qui vont en Chine sont surveillés, ajoute-t-il. Par conséquent, ils devraient respecter les lois et être très prudents avec leurs appareils de communication en raison des «risques de contamination».

"

Modifié par Bach
ortho
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