nextstep Posté Mars 20, 2014 Signaler Share Posté Mars 20, 2014 Bon a savoir! A la peche sur glace, les dorés jaunes qui étaient trop petits et que je devais remettre a l'eau avaient bien de la misere a repartir...ça me fait toujours un peu mal au coeur mais en meme temps, je suis tellement pas un grand pecheur de doré. Le pecher plus souvent, je découvrirais surement des bons spots dans moins creux... J'ai été bien surpris aussi de prendre du jaune dans plus de 50 pieds...m'attendais a voir juste du noir! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
COLAB Posté Mars 20, 2014 Signaler Share Posté Mars 20, 2014 Ça prend ça pour des études pour protéger notre patrimoine ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BrunoMayot (lomechuse) Posté Mars 20, 2014 Signaler Share Posté Mars 20, 2014 Ok, merci. Je savais que ce n'était pas létal mais je pensais qu'il y avait eu des études plus précises sur les dommages collatéraux aux autres organes (compression des autres organes, saignements internes, éclatement de vaisseaux sanguins, etc..). Comme ces espèces (perchaude, doré) n'ont pas comme les salmonidés une connexion directe entre leur vessie natatoire et leur oesophage, ils ne sont pas capables de décompresser et leur vessie natatoire gonfle de façon démesurée. Personnellement, quand je pêchais le doré à la baie de Quinte ou au lac Saint Pierre, on m'a toujours dit que le meilleur moyen de remettre à l'eau (entendre par meilleur moyen = diminuer les risques de mortalité et dommages collatéraux) ces poissons avec la vessie natatoire gonflée était de les remettre le plus rapidement à l'eau en utilisant la technique de la torpille pour les aider à rejoindre les profondeurs le plus rapidement possible pour décompresser la vessie. La technique de remise à l'eau de la torpille consiste à projeter le poisson tête première dans l'eau pour qu'il se retrouve imméditament avec une certaine profondeur d'eau au dessus de lui (2 ou 3 pieds de profondeur) et avec la tête en direction du fond, il peut plus facilement nager pour retourner à la profondeur désirée. Si on n'utilise pas cette technique, le poisson avec sa vessie natatoire si pleine de gaz, il flotte beaucoup trop et n'a pas assez de puissance pour réussir à se diriger vers le fond. 3 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
neo Posté Mars 20, 2014 Auteur Signaler Share Posté Mars 20, 2014 Pour plus de précision sur l'étude, il faudrait lire celle-ci (et non le résumé, comme on le fait ici). Peut-être y a-t-il plus de détails....?Moi je n'ai pas l'intérêt pour le faire, mais si quelqu'un est intéressé, toutes les références des études sont dans le documents... Suffit de partir à la recherche de "la source".L'idée de "la torpille" n'est pas bête... Mais la bête doit être en bon état, c'est-à-dire de ne pas l'avoir gardé hors de l'eau très longtemps avant de la larguer! Sinon la torpille risque de se transformer en mine flottante! 3 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BrunoMayot (lomechuse) Posté Mars 20, 2014 Signaler Share Posté Mars 20, 2014 Pour l'avoir tester à plusieurs reprises, cette technique fonctionne à merveille sur 99% des individus. 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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