BrunoMayot (lomechuse)

Voilà la passe à poisson!!

Oh que oui, ils se rendent. Il y a environ une dizaine de chutes comme celle là avant de rejoindre le barrage. Ensuite au barrage, ils doivent sauter par la passe à poisson pour se rendre enfin dans les zones supérieures de la rivière ou sont les meilleures zones de fraye. Des vrais warriors ces saumons!!

Les saumons chinook en montaison le 1er octobre 2016 dans les rivières du lac Ontario. Quand même plus sympa de les savoir à l'abri des pêcheurs de toutes sortes dans ce secteur de rivière où ils sont très vulnérables. Cette section de rivière est un passage difficile pour eux à cause d'une succession de zones de courant rapide et de chutes. Selon moi, cette section de rivière devrait être classée comme sanctuaire afin de limiter le carnage. En plus, on pourra les observer à loisir! www.lomechuse.com

Toujours un plaisir extrême à lire tes récits. Merci Jacques.

Cette année fut la saison du Coho en rivière. La dernière montaison d'il y a une semaine a amené beaucoup de saumons cohos. Mais aussi beaucoup de "meat eater"..... C'est toujours autant le cirque durant les fins de semaine.... Il reste quelques jours avant la fermeture.... Un autre pluie devrait amené énormément de poissons dans les rivières. La majorité des poissons sont encore en attente dans le lac à rôder aux alentours de l'embouchure des rivières. Ils attendent la pluie, une augmentation du niveau d'eau et un refroidissement de la température de l'eau de la rivière. Une saison vraiment bizarre cette année....

À part les dates de fermetures qui limitent les zones de pêche disponibles en rivière en Ontario, il n'y a pas vraiment de fin de saison. Après ou pendant le chinook, il peut y avoir des montaison de saumons cohos et de truites brunes, puis c'est le tour des montaisons de steelhead d'automne. La saison ne se termine donc pas, il y a juste des pics de bon temps qui sont fortement dépendants des conditions météorologiques

J'en reviens. Oublie le pour tout de suite. l'eau est si basse en rivière. Le saumon est encore dans le lac. Ça prend impérativement de la pluie pour remonter le niveau d'eau des rivières et refroidir l'eau.

Bande annonce d'un excellent documentaire sur l'histoire de la ouananiche au lac Ontario. Il y a aussi une partie du documentaire qui se déroule au lac Memphrémagog et auquel j'ai eu l'honneur de participer. https://www.facebook.com/theforgottensalmon/ http://www.theforgottensalmonmovie.com/

Réponse, plutôt tardive... Mais, si tu as vu l'autre sujet sur la pêche à la truite grise, tu devrais y trouvé pas mal d'informations pertinentes. En septembre, l'eau de surface est encore chaude, il faut donc se fier à la thermocline et pêcher dans les zone de confort de la truite grise. On en revient donc à la même réponse : sonar et carte bathymétrique pour recherche des structures sous-marines et identifications de concentration de poissons grâce au sonar. Ensuite, trouver le type de leurre qui les fait réagir que ce soit à la trâine ou la jig. Je te conseille de pêcher tôt le matin, car, de mon souvenir, le lac Simon, durant les longues fins de semaine, c'est insupportable avec le nombre de gros bateaux lourds qui font de grosses vagues et qui circulent à haute vitesse.... Bonne pêche!

Bert, la profondeur, c'est assez simple : regarde le sonar! Sérieusement, tous les poissons qui se tiendront en suspension dans la colonne d'eau sont potentiellement des ouananiches ou des truites arc-en-ciel. Si ton sonar est bien configuré, tu peux voir le démarcation que fait le début de la couche d'eau chaude avec la couche d'eau froide (début de la thermocline), elles se tiennent souvent à cette profondeur de démarcation de température d'eau. La couleur : je te dirai, personnellement, cette année, le vert avait l'air très à la mode auprès des ouananiches et truites arc-en-ciel. Mais, le vrai problème à résoudre, selon moi, n'est ni la couleur, ni la profondeur, mais plutôt le type de leurre et son utilisation et sa présentation. Là dessus, je resterai plus discret,.... je ne voudrai pas non plus dévoiler tous mes trucs que j'ai mis du temps à développer!!

Si tu veux des gros spécimens, traîne lente, j'y crois. Mais, en effet, à la traine lente, il faut savoir choisir les leurres qui ont de l'action et du mouvement à basse vitesse... Edit : @mini pro 165 , cette année au lac memphrémagog, année inhabituelle, la truite grise était partout dans la colonne d,eau, omniprésente, à frapper tout ce qui bouge à basse ou haute vitesse... Et même des spécimens de 27-29 pouces qui attaquaient les leurres à haute vitesse, totalement inhabituel. Je pense que cette année, j'aurai mis une réglisse rouge (comme Cyril Chauquet dans une de ses emissions) au bout de ma ligne et j'aurai réussi à prendre de la truite grise....

Sous toute réserve.... De ce que j'ai compris aussi, en effet, il faut acheter le logiciel "Zero Line" pour pouvoir faire ses cartes, les importer dans le sonar et pouvoir les utiliser comme traceur de contour avec le link I-pilot.

Pas sûr que je comprenne mais.... Si ton sonar est aussi un GPS, tu auras, en effet, un tracé de tes déplacements. Si tu veux enregistrer ton tracé, normalement, dans la vue GPS, tu appuies sur menu et tu choisis "enregistrement la ligne ou la tracé" (je ne me souviens plus de mémoire exactement le terme utilisé mais la phrase ressemble à quelquechose comme ça). Par contre, si tu veux pouvoir te diriger vers un point précis, il te faut faire un point précis (waypoint) en appuyant sur le bouton "mark" lorsque tu es sur le point précis que tu as choisi. Ensuite, depuis ton point de départ, tu peux appuyer sur le bouton "Goto" et choisir le waypoint que tu as créé. La vue GPS du sonar, t'indiquera la route directe pour s'y rendre et sonnera lorsque sur sera rendu à quelques mètres du point choisii.

Entièrement d'accord. La base de la pêche à la grise : 1) connaitre le poisson fourrage dont elle se nourrit dans le lac que l'on va visiter. 2) Trouver les leurres en métal ou en plastique qui imite bien ce poisson fourrage. 3) Étudier les structures sous-marine du lac et cibler des endroits à prospecter 4) une fois arrivé sur le lac, pêche à la traîne sur les structures identifiées et savoir lire son sonar 5) quand tu trouves une concentration de truites grises sur ton sonar, tu t'ancres et tu jigges.

Ça a été une année inhabituelle. La ouananiche au lac Memphrémagog ne s'est montrée qu'à partir du moment où la truite grise a cessé d'être omniprésente partout dans la colonne d'eau. Ça fait maintenant 2 semaines que la ouananiche est présente et répond bien, en tout cas pour moi. N'hésite pas à me contacter pour réserver une excursion de pêche guidée, il me fera plaisir de tenter de résoudre tes interrogations.