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Joel-Gh

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Tout ce qui a été posté par Joel-Gh

  1. Oh, je parlais plutôt de la forme. Je n'avais pas porté attention aux dimensions. J'ai essayé des leurres avec bavettes. Ça marche pour l'achigan et pour le doré. Pour la truite, le moins de mouvements possible du flotteur semble etre la solution. D'où mon interet pour le flotteur effilé. Je n'avais pas pensé plus loin. Merci d'avoir attiré mon attention sur les dimensions.
  2. Mmmm. Intéressant. Ça me semble être des gros machins un peu encombrants. Je serais prêt à les essayer. Je dois avouer qu'à la truite, je ne suis pas certain des résultats. J'ai tendance à privilégier des trucs plutôt discrets sur l'eau. Je serais intéressé à essayer celui-là, mais à 7 $ le flotteur... http://www.spinandfly.com/
  3. Si tu as la moindre info à ce sujet, n'hésite pas à me la communiquer. Je ne connais pas ce dont tu parles. Et je suis très intrigué. Merci pour les bons commentaires !
  4. [Avertissement : Cet article ne s’adresse pas aux pêcheurs à la mouche, pas plus qu’il vise à dénaturer le noble art de la pêche à la mouche. Il s’adresse aux pêcheurs de lancer léger qui veulent enrichir leurs techniques de finesse, surtout pour la pêche à gué. Cet article est le troisième d’une série de trois articles sur des approches inusitées pour la truite et autres espèces. Nos préférons vous en avertir.] J’ai longtemps hésité à écrire cet article et pour cause : le nombre de réactions négatives que j’ai subies — le mot n’est pas trop fort — m’a maintenu dans la discrétion pendant plusieurs mois. En effet, chaque fois que je tentais d’en parler à des connaisseurs, on m’a boudé, ridiculisé ou même sorti d’un magasin ! Et pourtant, ce que je m’apprête à vous révéler, ça fonctionne. En dehors de tous les cadres connus, oui, mais ça marche. En TA… Au mois d'août 2016, j'ai appris une technique qui m'était inconnue pour le maquereau. À 4h30 du matin, nous étions sur le quai. Les paysages étaient parfois spectaculaires. Le printemps-été 2016 a été pour moi source constante de découvertes. J’en ai déjà présenté une partie dans les deux articles précédents (références ci-bas). Or, au mois d’août 2016, à l’occasion d’un voyage en Gaspésie, une autre étape essentielle a été franchie, mais commençons par le commencement. Un grand ami à moi, de Cap-Chat, m’a initié à la pêche au maquereau. Quatre ou cinq fois, nous sommes allés sur des quais, ceux qu’il fréquente depuis son enfance, pour notre plus grand bonheur. Ce fut des moments magiques. Or, pour la première fois, je pêchais avec un montage qui me semblait étrange : une mené plombé tout au bas de la ligne et, à distance régulière, sur la ligne, des streamers. Autant qu’on en voulait, car le maquereau se déplace en banc ; il y en a plein, ou il n’y en a pas. On peut sortir trois d’un seul coup, et parfois rester des heures sans la moindre touche. La plupart du temps, j’en ai remonté deux, mais parfois trois ou quatre à la fois. D’être là, avec un vieux chum, m’a fait le plus grand bien. Montage populaire à Ste-Anne-des-Monts pour la pêche au maquereau : un mené plombé tout en bas, et à tous les 18 pouces, un streamer. Autant qu'on en veut! Or, au printemps, j’avais développé une petite technique avec un popper pour maintenir des appâts artificiels près de la surface, tout en pouvant les lancer à longue distance. L’idée m’est venue de tenter le tout avec un streamer. Pas pour le maquereau, mais pour la truite ou le saumon. Ce ne fut pas un succès. La limpidité des cours d’eau et le bruit que je faisais en le lançant rendaient les poissons extrêmement méfiants. L’eau chaude de ce mois d’août 2016 a fini de faire le reste. Voici que l’on m'apprend à pêcher à la mouche. Là non plus, je n’ai pas eu beaucoup de succès. En deux jours, un petit saumon et quelques truites (2 ou 3, je crois). Il reste que dans ma maladresse, j’en ai attrapés plus que d'autres pêcheurs plus expérimentés. Je n’étais pas peu fier. Premier essai de montage avec des mouches sur une canne à lancer léger : Mon vieux popper posé à l'envers, une mouche flottante et, tout en bas, une nymphe. Le lendemain, sans guide cette fois (mais avec toutes les autorisations), je me suis rendu à la même fosse avec un attirail inusité : j’avais mon petit popper renversé. Dans la bouche, j’ai placé un leader flottant pour les cannes à mouches (de 6 pieds) et j’ai lancé les mêmes mouches que la veille. Sur mon tippet en fluorocarbone, j'ai posé une nymphe à l’extrémité et une mouche flottante (à 18 pouces ou 45 cm). Même fosse. Mêmes mouches. Même approche globale. Nouvel attirail. Bingo! En deux heures, j’ai pris 3 truites (pas de saumons). Maintenant initié à la pêche à la mouche depuis la veille, je comprenais mieux qu’il me fallait laisser mon offrande descendre le courant, laisser mon montage le suivre le plus naturellement possible. J’ai cependant vite appris que je ne pouvais pas utiliser le même positionnement que la pêche à la mouche à la régulière. J’ai préféré lancer mes montages vers le haut du courant et le laisser descendre, jusqu’à ma hauteur. Là, je récupérais et je relançais en haut. Bien sûr, je n’avais pas l’exceptionnelle précision et régularité que celles avec ma canne à moucher — c’est sa grande force en fait, ça et la subtilité, la finesse —, mais les résultats furent immédiats. J'achetais mes mouches complètement au hasard, à l'instinct, et sans aucune aide des marchands. En effet, chaque fois que j'osais ouvrir la bouche sur "ma technique" de pêche avec des mouches, on me donnait l'impression d'être ridicule ou offensant. J'ai continué, discrètement, sans en parler à personne. De retour en Mauricie, tant sur la Shawinigan que sur la St-Maurice, pour la truite, l’achigan ou le doré, c’est ainsi que j’ai pêché avec des mouches pendant les mois d’août à octobre. Comme j’aime dire, je pêche au lancer léger avec des mouches, mais je ne pêche pas « à la mouche », selon l’approche traditionnelle. Du moins, pas encore. Je suis novice, à ce chapitre. En fait, durant cette période, j’ai choisi de ne parler que très peu de ce que je faisais. La raison en est bien simple : dans un grand magasin de plein air, je me suis presque fait « virer » de la section de la pêche à la mouche par le vendeur. Dans un commerce spécialisé, le patron m’a presque mis dehors pour crime de lèse-majesté. La vérité est que j’achetais mes mouches un peu au hasard, sans trop m’y connaître. Ne sachant pas différencier la nymphe, de la mouche noyée ou flottante. C’est plus par essais-erreurs que j’ai pu comprendre le comportement de l’une ou l’autre mouche. C’est en testant et tentant de perfectionner cette technique que j’en suis venu à comprendre… que ça marchait. Complètement. Je pêche au lancer léger, avec des mouches pour leurres. Un point tournant (janvier 2017) Tempête de neige, congé forcé. Je suis à la maison et il me vient une idée. En anglais, je google : « fly fishing spinning rod ». Je suis tombé sur la caverne d'Ali Baba. Non seulement ai-je trouvé quelques excellents articles (voir notes ci-bas), mais en plus, un célèbre pêcheur de truites du Wisconsin en a même fait sa spécialité. Seul, lui aussi, il en est arrivé à peu près aux mêmes conclusions que moi. Je n’en revenais tout simplement pas ! Oh, lui est surtout concentré sur les ruisseaux et les petites rivières — alors que moi, ce sont surtout les moyennes et grandes rivières, ainsi que les lacs —; ses techniques ne sont pas tout à fait comme les miennes, mais pour l’essentiel, nous nageons dans les mêmes eaux. J’ai aussi appris qu’il existe des flotteurs spécialisés pour ce type de pêche !!! Incroyable. Je n’ai rien de ces gadgets, bien sûr, pas plus que toute leur expérience, mais de consulter des vidéos, sites et articles qui traitent de ce sujet m’a fait un bien énorme. Je ne suis pas si fou, après tout ! J’ai décidé, cette semaine-là, d’écrire cette série de trois articles, pour vous raconter cet itinéraire. J’espère que vous avez apprécié. Bonne pêche à tous et à toutes ! --- Notes : Mon article préféré sur le sujet de JD : https://fishwithjd.com/2009/07/12/fly-fishing-with-a-spinning-rod/ La série de vidéos qui a pour moi tout changé de Dan Coppersmith : --- Les deux autres articles de cette série (du même auteur) : Truite : Techniques inusitées pour la pêche à gué (1/3) Truite et achigan : Technique inusitées pour la pêche à gué (2/3)
  5. Joel-Gh

    présentation

    Salut Donald, Ouf que tu es au bon endroit !!!! Tu vas parler avec des SUPER moucheux, ici. Tant comme pêcheurs que comme fabricants de mouches. Tu ne t'ennuieras pas. Tu es en Mauricie. J'ai quelques conseils pour toi, car je suis novice, moi aussi. D'abord, je suggère que tu t'inscrives sans tarder à la Société mauricienne de la pêche à la mouche. Nous en sommes au milieu de l'année (ça ne coûtera que 25-30$) et cela te donnera plein d'avantages : - tu te joins à un groupe de plus de 60-65 pêcheurs à la mouche de ta région, - tu appartiens à l'une des associations les plus vivantes du Québec - tu auras accès à des coachs qui, gratuitement, t'initieront à la pêche à la mouche (avec atelier), - tu pourras faire des sorties avec d'autres pêcheurs, - tu auras droit à 15% de rabais sur tous tes achats dans un commerce spécialisé de notre région. Tu auras tôt fait de rembourser le coût d'inscription - tu auras droit à deux ateliers de montage de mouche, matériel fourni, tout à fait gratuitement. Bref, ne manque pas ça, l'ami, sinon tu seras déçu de l'apprendre trop tard. Envoie un petit courriel à M. Serge Pellerin : info@smpm.org. Quant à moi, je suis aussi de la Mauricie (comme @Le Protecteur, @GeekFisher et combien d'autres). Bienvenue chez toi !
  6. Dis-moi, as-tu pensé à fréquenter et suivre des annonces sur Kijiji ? Comme celle-ci : http://www.kijiji.ca/v-canot-kayak-paddle-board/ville-de-quebec/kayak-pour-la-peche/1229396651?enableSearchNavigationFlag=true Moi, perso, plein de bonnes affaires que j'ai trouvées sur Kijiji. Il faut voir le matériel avant d'acheter, bien sûr !
  7. Pour le moment (2-3 mois), le kayak m'est interdit. Petite opération pour une hernie (rien de grave), mais c'est exactement au niveau des abdominaux. Plus tard au cours de l'été ?
  8. Le St-Laurent est completement libre devant le Port et le Cap. St-Maurice: la glace est presque brisée sous le pont de Fusey-St-Maurice. Je vais aller voir à certains de mes spots. Ce ne sera pas long.
  9. Joel-Gh

    Présentation

    Super bienvenue pour toi, l'ami ! Passe du bon temps parmi nous. Au plaisir de te croiser !
  10. Ça ajoute des points intéressants à mon expérience. 100% d'accord avec Dan.
  11. Joel-Gh

    Miramichi 2017

    Mouin. C'est ok. Ben recommence pus! ? (PS Je voulais juste m'assurer que tu ne me prenais pas pour un débile! Je n'ai pas du tout été offusqué.)
  12. Joel-Gh

    Miramichi 2017

    @neo: j'aime rêver et faire rêver. Sans plus. Je sais parfaitement que ce n'est pas la même chose.
  13. Je peux t'aider avec un de tes objectifs. Devine lequel! Pour la mouche: ouiap. C'est déjà prévu.
  14. Salut groupe, L'annonce n'est pas de moi. J'ai vu cette annonce qui vient de s'ajouter sur Kijiji. Ça me semble être une belle collection : http://www.kijiji.ca/v-peche-camping-plein-air/saint-hyacinthe/mouches-pour-la-peche/1227113585?enableSearchNavigationFlag=true
  15. Joel-Gh

    Miramichi 2017

    Au fait, pour ceux qui ne l'ont pas vu, même si c'est autre chose que le bar, c'est toujours intéressant de voir un peu de quoi a l'air a rivière, même en amont : Hooké sur la Miramichi () : http://unis.ca/videos?v=4q3c76a2cecwp
  16. Chère Tsigane, par ce fil de discussion, je prends connaissance de ton travail. Je vois tout ce que tu fais de beau et de bon pour préserver l'accès public aux plans d'eau du Québec. Que la propriété privée soit admise, c'est tout à fait normal. Que l'on réserve ou contrôle de grands territoires, c'est très bien et normal. Mais que l'on ne donne pas accès au grand public, c'est inacceptable. Il faut que cela change, et cela dépasse largement les compétences municipales. C'est un enjeu national. Tu peux compter sur mon appui et mon militantisme à tes côtés, afin de préserver les notions de bien public et d'accessibilité des plans d'eau du Québec. Merci de tous tes efforts et de ta constance. C'est une noble cause. Pêche Québec devrait, à mon avis, s'investir à plein dans cette démarche - si ce n'est déjà fait. Ses membres, individuellement, devraient y réfléchir sérieusement. Bon courage!
  17. Hey ! Bienvenue, Patrick (un autre ?!?!) Tu vas trouver beaucoup d'amis de pêche et de kayak, sur ce forum. Bienvenue ! Fais comme chez toi !
  18. Si l'argent est un problème et que tu es bricoleur:
  19. Dans l'approche pêche/kayak, il y a deux écoles : - celle où tu veux tout avoir sur ton kayak, et donc tu prévois un bon "kayak for fishing" que tu équipes au fur et à mesure où grandissent tes besoins. Tu sembles être tenté par cette option. Ou du moins, tu veux faire les choses de manière à ce que tes choix actuels puissent te donner toute la polyvalence pour les prochaines années. Je ne suis pas la bonne personne pour te conseiller à ce niveau. - celle où tu veux faire d'abord du kayak en tout confort et où, minimalement, tu peux pêcher. Moi, je suis carrément minimaliste. Avec la veste de sauvetage, la pagaie, je n'aime pas être encombré. Je ne pêche pas à la mouche pas plus que la "spinning rod". Rien de format régulier, en tout cas. Je garde cela pour la terre ferme. Tout mon équipement est soigneusement rangé dans les compartiments étanches. Je ne garde que mon petit sonar flottant (iBobber) qui traîne derrière mon kayak quand j'en ai besoin, mon téléphone dans une pochette étanche et une petite canne pour la pêche d'hiver pour jigger au-dessus des fosses et pour faire quelques lancers de courte distance. Je l'attache avec une corde ou un élastique. Je me garde aussi un petit coffre (flottant et hermétique) pour quelques leurres/équipement complémentaires. C'est absolument tout. Tout le reste est rangé soigneusement. Quand je trouve une belle pointe, ou un beau spot prometteur, je m'arrête, débarque et sort ma canne. J'y reste une petite heure, habituellement et je pêche en tout confort. Une partie de cela est dictée par ces quelques données : - je suis un homme lourd. Il n'est pas possible de bouger dans un canot ou kayak, ou même de m'agenouiller, sans mettre en péril l'équilibre de l'embarcation. - je n'aime pas être "pogné dans le stock", que ce soit en canot ou en kayak. Je n'aime pas non plus le voir dériver ou couler s'il arrive quelque chose. Voilà, l'ami. Les autres sauront mieux te répondre que moi.
  20. Ici aussi, collègue de plongée ! J'en fais moins maintenant, mais il m'arrive encore de faire un peu de palme-tuba !
  21. Ça l'air que je ne suis pas abonné à ça. ?
  22. Ça paraît peut-être idiot, dit comme ça, mais c'est quoi Unis.tv?
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