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Joel-Gh

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Tout ce qui a été posté par Joel-Gh

  1. Bienvenue sur le forum, Pour la truite brune : la St-Maurice est facile d'accès. Moi, c'est lancer léger et mouche !!! Novice dans la dernier type, mais l'expérience que j'ai : j'adore !
  2. Pour Kalamouche, c'est sur RDS. Hooké et Elles pêchent sont sur UNIS.CA. Pour le moment, les émissions de Kalamouche ne sont pas disponibles sur internet. Seuls les "teasers" le sont. En fait, la saison en cours n'est pas disponible pour chacune de toutes ces émissions.
  3. Pour ceux à qui cela a échappé : La nouvelle saison de Hooké commence le 4 avril, à 19:00. http://www.unis.ca/hooke Bonne saison !
  4. Émission no 6 : Parc de la Vérendrye. Alain-François est allé en des endroits qu'il connaît, pour la pêche au brochet. Il y était avec son père. Une émission moins spectaculaire que plusieurs autres, mais très agréables pour le plaisir et la connivence. NOTE IMPORTANTE : Alors que j'étais dans un des commerces commanditaires de l'émission, on y recevait un fax qui confirmait aux partenaires que l'émission reviendra pour une deuxième année. Quelle belle nouvelle ! Autre note : cette semaine, sur UNIS.TV, une nouvelle saison de Hooké !!!
  5. Si d'autres regions du Canadan n'étaient pas differentes, ce serait une cause désespérée, c'est vrai! Or, c'est l'inverse! Le Québec est le seul endroit où c'est comme ça en Amérique du Nord. Tu peux fréquenter de super belles rivières et beaux lacs à accès public en Ontario, au NB, en Nouvelle-Ecosse, en Terre-Neuve, au Wisconsin, au Minnesota, en Nouvelle Angleterre, etc. Les municipalités n'auront aucun pouvoir s'il leur est enlevé par le gouvernement provincial. On l'a vu avec le projet Énergie-Est. Le bon gouvernement libéral se préparait à passer par dessus la tête des municipalités pour forcer le passage d'un pipeline. Moi, je crois à la cause d'un accès libre et gratuit à nos plans d'eau, mais ça prend une politique visionnaire. Pour ma part, il est là le hic. Je crois que le parti liberal est capable d'autant de vision qu'une cane de pois. Donc, ça prend un lobby de nature légale, pas nécessairement un règlement par les tribunaux. J'endosse la cause. Complètement. 10 000 $, ce n'est rien du tout pour un tel droit. Juste les frais d'accès à l'eau des bateaux et des personnes pour les membres actifs du forum atteint ce montant dans le deux premières semaines du mois de mai. Il faut penser collectif, ici.
  6. Emission no 5 : la Bonaventure. Dommage. Le team "centre du quebec" a fait pouet! Toujour difficile de faire une émission de pêche quand ça ne mord pas. Geeezzz!
  7. J'avais jamais vu cette approche. Du travail TA. Pas certain que j'aurais cette patience.
  8. Bienvenue sur PêcheQC ! Tu trouveras plusieurs personnes qui partagent les mêmes intérêts que toi. La pêche à la mouche, le kayak et toutes ces bonnes choses ! :-)
  9. Ouf, j'ai été bousculé. Je vous envoie les deux sets dès demain (le mien et celui de M. Paul Kent). Moi aussi, désolé, les gars !
  10. Joel-Gh

    La Mopfly

    @MVP Si tu savais tout ce qui entre dans la fabrication de mouches ! Je n'en revenais pas ! Les chaînes de bouchon d'évier, des éponges, des fils en tout genre, du plastique, des perruques de clown. La moitié du stock vient de Dollorama. C'est fou, l'imagination ! Et le plus drôle : ça marche !
  11. Joel-Gh

    La Mopfly

    @Hameçon Te rappelles-tu à quelle période de la saison?
  12. Le sonar portatif iBobber appartient à ce nouveau courant : la pêche assistée par la technologie. Depuis quelques années, littéralement, ce domaine déborde d'innovations. Sous les apparences modestes d'un flotteur — un "bobber" en anglais — se cache un appareil sophistiqué à l'intention des pêcheurs. Loin d'être un appareil sans défaut, le iBobber remplit néanmoins ses promesses. Il sera particulièrement bien adapté aux pêcheurs qui sont aussi randonneurs, kayakistes ou canoteurs. Nous l'avons testé pour vous pendant quatre mois, dans les conditions parfois difficiles (en automne et en hiver). Notre évaluation : 3,5 / 5. L'appareil est en plastique blanc et rouge, monté sur un lourd socle de métal recouvert de caoutchouc qui se branche à même un ordinateur ou un chargeur USB. La recharge complète se fait en quelques heures et, lorsque terminée, l'appareil clignote: le iBobber est prêt. On le décroche de son socle et on l'attache à une canne. Après avoir téléchargé l'application sur un téléphone ou une tablette, il suffit de suivre les instructions pour mettre à jour le "firmware" (les logiciels/données internes à l'appareil). Le manuel est simple, limpide et bien illustré. Le français est excellent. L'interface de l'application est jolie, bien dessinée et facile à comprendre. On trouve les données au bon endroit et naturellement. Seul petit "hic": il y a un décalage entre le livret d'instructions et le menu principal, car le "calendrier" du pêcheur a disparu. Il est remplacé par le "Global Plotter", qui nous indique où le iBobber est utilisé présentement dans le monde. L'autre fonction était plus utile... Dommage. Comment cela fonctionne-t-il? Le iBobber est un petit sonar que l'on lance avec une canne. On recommande une canne de calibre médium ou plus, avec un fil de plus de 8lbs: le flotteur pèse 1,7 once (48 gr). Ce n'est pas un poids-plume même si c'est le plus léger des sonars de cette catégorie. Pour ma part, la majorité du temps, je l'ai tout simplement laissé dériver sur les rivières au gré du courant et derrière un kayak. L'appareil est si léger que parfois la lecture devient défectueuse ou impossible lorsque les vagues sont trop imposantes ou que le courant est trop fort. Le fabricant recommande d'ajouter un peu de poids pour que le iBobber reste toujours immergé. Nous avons ajouté un plomb-cloche de 1 ou même 2 onces (dans des situations plus extrêmes) à l'autre anneau du flotteur. Ainsi utilisé, contrairement à certains autres utilisateurs sur internet, nous n'avons eu aucun problème majeur. Le iBobber émet un signal ; le téléphone reçoit par connexion sans fil. Tout fonctionne bien. À la suite d'un canot ou d'un kayak, la lecture fut constante et de bonne qualité (le flotteur n'était pas plus loin qu'à une dizaine de pieds ou 3 m); à partir d'un pont ou du rivage, la connexion Bluetooth a tenu jusqu'à une centaine de pieds (35 m), sans aucune difficulté. Plus loin, l'appareil se déconnectait selon les conditions atmosphériques. Photo no 2 : Le petit flotteur a été lancé du haut d'un pont de la rivière St-Maurice au mois de janvier et février (deux essais, avec ou sans glace). La fonction de "mapping" Pour moi, la plus intéressante et la plus performante des fonctions est la cartographie du fond. Il suffit de lancer l'appareil à l'eau, de s'assurer d'un bonne connexion et de "cliquer" sur le bouton à même le téléphone pour commencer à dessiner le fond de l'eau. On ramène l'appareil avec régularité jusqu'à bon port; trois secondes plus tard, on obtient le dessin du fond exploré. Facile et parfaitement utilisable. Techniquement, le sonar N'est PAS recommandé pour des fonds de moins de 4 pied (1m30), mais pour la fonction de carte, je n'ai pas eu la moindre difficulté même en 2 pieds d'eau (un canal, près d'un ancien quai, au Cap-de-la-Madeleine). Photo no 3 : Contrairement à mon habitude, ici, j'ai laissé dériver le petit flotteur qui s'éloignait du pont où je me trouvais. On voit clairement, à gauche, le pilier. La fonction de "fish finder" Lorsque le iBobber est dans l'eau, une des fonctions les plus intéressantes est certainement la recherche de poissons. Les résultats sont présentés sur un écran vertical, très simple et facile à comprendre. On y trouve le fond et les obstacles, la végétation et les poissons. Le tout est indiqué avec la profondeur appropriée. L'étiquette qui suit le poisson indique deux choses : la profondeur du poisson et sa grosseur (orange pour les moins de 15 pouces ou 40 cm, et verte pour ceux de plus de 15 pouces). L'image que l'on obtient est simplifiée, dégagée de toute donnée inutile, mais il est possible d'obtenir une image "sonar" plus traditionnelle quoique très grossière. J'ai trouvé cette dernière assez peu utile dans l'ensemble, car elle n'est pas aussi complète qu'une image de sonar classique ni aussi précise. J'ai préféré garder l'image simplifiée la plupart du temps. Il est aussi possible d'activer une alarme de poisson (très utile en kayak, par exemple, car je ne regardais pas toujours mon écran), ou même une alarme de touche si on utilise l'appareil comme un flotteur. Photo no 4 : Le fond étagé de la St-Maurice, avec des poissons de moins de 15 pouces en suspension. On y indique aussi des traces de végétation. La fonction "journal du pêcheur" Dans chaque écran que présente l'application, à droite, est disposée une petite bulle avec une étoile. En tout temps, il est possible d'utiliser les fonction GPS du téléphone ou de la tablette pour enregistrer le lieu. Automatiquement, sont enregistrés les coordonnées, les conditions atmosphériques, l'écran actif. Le pêcheur peut compléter en y entrant le nom du lieu, le type de poissons pêchés, le type de leurre et autres renseignements utiles. Il peut y ajouter deux autres photos de sa photothèque ou prise sur le moment. Photo no 5 : Une entrée de mon journal du pêcheur du 26 février. À moins 8 degrés celsius, le iBobber a navigué au milieu des glaces et a enregistré la profondeur et la présence de poissons dans le port de Trois-Rivières. Nous avons testé l'appareil à l'automne 2016 derrière un kayak, sur un lac. En janvier et février 2017 à l'occasion d'une sortie de pêche sur la glace, dans le port de Trois-Rivières et du haut d'un pont sur la St-Maurice. En hiver, la glace créé un "rebound" sonar qui devient illisible. Il faut bien s'assurer que le "trou" du pêcheur est bien nettoyé. En toutes ces circonstances, et bien utilisé, l'appareil fonctionne correctement. Il nous a permis de capturer — et de relâcher ! — de jolies perchaudes dans le Lac St-Pierre, et de centrer notre attention sur les lieux où le poisson se tenait en toute circonstance. Notre appréciation Cet appareil rendra de fiers services aux pêcheurs qui s'adonnent à la randonnée, au kayak ou au canot. Il est éminemment portatif et peu gourmand en terme d'énergie. Il a fonctionné des journées entières à utilisation intermittente; il peut suivre un kayak pendant 5 ou 6 heures sans défaillir. En fait, le téléphone se déchargeait plus rapidement que le iBobber. Avec une tablette (Android), nous avons même accès à un large écran, ce qui est tout un luxe pour un appareil de ce prix. Pour quelqu'un qui possède déjà un téléphone ou une tablette, pour quelqu'un qui cherche un petit appareil facile d'utilisation et peu coûteux, le iBobber remplit ses promesses. L'appareil est perfectible (une meilleure lecture et stabilité en eau agitée, une image sonar plus nette et plus précise en mode sonar, etc.) et l'application peut être plus complète (calendrier du pêcheur). Le seul véritable défaut que nous lui avons trouvé est le fait que la fonction "fish finder" (recherche de poissons) est inutilisable à moins de 4 pieds (1m30). Pour le pêcheur à partir de la grève, c'est un désavantage, car les données sur la présence ou non de poissons ne sont valides qu'à partir de 4 pieds de profondeur; c'est parfois beaucoup de "spots" manqués. Un sonar plus cher proposera une puissance d'émission moins grande et donc utilisable en eau peu profonde. Ici, il faut choisir entre une fonction importante et le prix. Pour environ 100 $, et en tenant compte des limites ci-haut mentionnées, ce petit appareil est devenu un pièce d'équipement incontournable de mes randonnées de pêche. Je ne m'en passerais plus. En arrivant sur un nouveau lieu, je vérifie s'il y a du poisson, si oui, je cartographie le fond et en moins de 5 minutes, je suis prêt à pêcher en ayant l'assurance que je n'y perds pas mon temps. À ce prix ? Priceless! Notre appréciation : 3,5/5 --- Cet article est une version-miroir de l'article publié sur le blogue de PecheQC.ca le 19 mars 2017. .
  13. Notre forum reçoit parfois du matériel de pêche afin de le faire connaître à ses membres. De même, plusieurs ententes commerciales avec nos partenaires nous permettent à l'occasion de faire de beaux tirages. Voici le deuxième article de ce nouveau type de message. Lorsque vous verrez un post avec l'entête [Reçu à PêcheQC.ca], au début de chaque mois, vous pourrez prendre connaissance du nouveau matériel reçu. Dans la mesure du possible, nous vous annoncerons aussi les "reviews" (tests ou évaluations) à venir. Vous serez donc toujours à la fine pointe des nouveautés et des publications de PêcheQC.ca. Reçu au moi de février 2017 : - Berkley PitBull 5.5 (review prévue : début avril) - HT IceRigger (review prévue : automne 2017) Reçu au mois de janvier 2017 : - ReelSonar - iBobber (review prévue : mi-marsl) Reçu au cours de l'automne 2016 : - Berkley - Warpig 3.5 (review prévue : mi-mars) - Daiwa - Ardito Travel Rod (review prévue : fin avril) Note : N'hésitez pas à nous suggérer des produits pour évaluation. PêcheQC.ca peut faire des approches auprès des compagnies qui vous intéressent. De même, nous pouvons inverser certaines publications, selon l'intérêt. Merci de votre collaboration. .
  14. Voilà ! J'ai fabriqué mes première mouches ! Toutes les trois sont extrêmement faciles à faire, parfaites pour des débutants. À l'occasion d'une journée de la Société mauricienne de la pêche à la mouche. J'y ai rencontré une bande de passionnés et de capotés. Ce fut un très bel avant-midi.
  15. Épisode no 4 : La Côte-Nord Une très belle émission de la région de Natashcouane (il semble). De la mouchetée, de la ouananiche et de "l'Artcic Char" (Omble chevalier). Il a trippé raide sur sa première et deuxième journées. Le dernier après-midi (à la traîne), à l'évidence, cela l'a ennuyé. Belles images, hôtes sympatiques, "shore" lunch dans des endroits rêvés. Très plaisant.
  16. Joel-Gh

    Présentation

    Tu vas trouver beaucoup d'amis iccccciiiiii ! Mouche et spinning, y en a des amateurs! J'en suis !
  17. Des beaux gros plus + 1 à ce que dit Neo. Les salmonidés, ce sont les classiques de la pêche à la mouche. Mais en pratique, tu peux pêcher n'importe quoi. Ici, à Trois-Rivières, il y a tout un groupe de maniaques de maskis et de brochets à la mouche. L'achigan est une prise régulière, ainsi que le doré. Pour ma part, j'ai une #6 et un #8 (en fait, deux no 8). Et je les ai utilisées en eau douce et en eau salée. Pour la truite (brune et AEC), le saumon, le doré. J'ai failli attraper un bochet qui a sauté sur une mouche que j'utilisais pour les achigans (un petit muddler un peu pâle). Sur le lien du New Fly Fisher, ci-haut, tu verras aussi de la carpe et d'autres espèces. En fait, ce qui se pêche peut l'être à la mouche. Et vice versa. C'est une question de préférence et de technique. De mentalité de pêche, aussi. Alors, n'hésite pas à explorer.
  18. Je suis juste un peu moins novice que toi et je n'ai que deux suggestions. 1) pour apprendre à pecher, trouve-toi un coach ou un professeur. L'autre jour, sur kijiji, quelqu'un annonçait des cours gratuits. N'hesite pas. Prends-en. Sinon, tu vas perdre ton temps. 2) regarde s'il n'y a pas une association dans ton secteur. Meilleur endroit pour apprendre à pêcher et à fabriquer des mouches. Tu trouveras là des passionnés et des bon profs. Finalement, si tu as le goût de faire des sorties en Mauricie: viens! On est une bonne gang. Ça s'organise facilement!
  19. Joel-Gh

    Présentation

    Bienvenue à toi, passe du bon temps parmi nous. Côté pêche : connais un peu nos belles rivières ? As-tu une idée de ce que tu aimerais pécher? Et de quelle manière?
  20. @neo et @LacAlbanel je crois bien que si ce menu avsit été de la friture ordinaire, j'airais aimé moyennement. Regardez de près: pas comme d'habitude. C'est vraiment un resto santé. Pas du tout l'impression de grosse friture.
  21. Cela n'a pas l'air grave, comme ça, mais fait, je suis prisonnier de Minneapolis à cause de la tempête à Montréal. Depuis lundi. Du beau temps su'l'bras de Delta Airlines.
  22. Voici le canal général d'une excellente émission de pêche à la mouche en provenance de l'Ontario. Tant le vieux monsieur que les autres animateurs m'apparaissent excellents. La jeune femme est hyper sympathique et compétente. J'apprécie les canaux par espèces (bass, walleye, carp, etc) et, bien sûr, les salmonidés! Bonne écoute! Emission: The New Fly Fisher https://m.youtube.com/channel/UCk2DJldSE7hhQTU8rjNHeYw
  23. Dans un petit resto santé, la plus délicieuse des recettes que j'ai mangées de ma VIE. Bouchées de doré sur lit de salade. Et ici, ça ben l'air que le déneigement des troittoirs est une option. Mauvaise idée que d'aller marcher un peu. Voici le morceau de trottoir le mieux dégagé de l'après-midi. Ouf !
  24. Eh oui! À l'intérieur. Entre La section de pêche et les vêtements pour hommes. Évidemment, un ponton est plus difficile à ignorer. ;-) Mes quelques babioles ne posent pas de problèmes.
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