buddy

Ça c’est une belle fin de semaine d’été Mon partenaire est venu faire un de mes contrats avec moi en fin de semaine, abattage de 3 frênes. Mon partner a apporté son chipper à branche et on a chippé dans mon trailer. Très belle job, ça vraiment bien été!

@Mouche001, faudrait que je me trouve des monteurs intéressés par des plumes et du poil… J’en ramasserais une bonne quantité par année Pour l’instant j’ai notre ami Didier à qui je vais lui préparer tout une commande de plumes durant la saison de chasse à venir

Le gars il tire sur les plumes des ailes… Pas besoin, tu coupes vers l’intérieur en suivant les plumes et ça s’enlève toute one shot Sans pour autant enlever la peau.

C’est certain que ça doit être bon…

J’ai plusieurs anecdotes qui me viennent en tête en lisant cette phrase! … Dans un livre j’ai déjà lu une anecdote assez spécial… L’époque de l’anecdote se situe avant 1900, entre 1700 et 1890 je dirais, selon ma mémoire… Ça mentionnait que les gars de bois allait dans le bois en hiver pour chasser des orignaux et qu’ils abattaient les orignaux et ne récoltaient que les langues (!!) pour les envoyers au roi en France ou aux seigneurs ici…! Une autre anecdote, celle-là vient de Paul Provencher que j’ai mentionné souvent dans le post ici… Provencher lui c’était un arpenteur qui a fait beaucoup d’expéditions avec des guides indiens et il en a appris pas mal en les cotoyants… Et ils disaient que les Montagnais de la côte-nord, qui eux avaient accès au caribou forestier et à l’orignal, chassaient beaucoup plus de caribou que d’orignaux! Pour des raisons biens simples : un caribou, à deux gars ils pouvaient le trainer comme ils voulaient et l’apporter où ils voulaient… Un orignal, ben il fallait qu’il fasse presque une boucherie complète sur place tellement c’est gros et pas manoeuvrable… Ensuite, vu que les autochtones eux c’est vrai qu’ils gaspillaient absolument aucune viande (!!), pour les femmes qui processaient la viande au complet, faisaient fumer, sêcher, salé et etc… Encore là, c’était bien moins longs un caribou qu’un orignal! Beaucoup plus commode… En plus il parait que la viande du caribou était bien meilleur… Ça fondait dans la bouche… plus qu’un orignal. Au final, la seule période où les autochtones chassaient l’orignal c’était en hiver. De un pour la technique de chasse qu’ils utilisaient. Ils attendaient que la neige soit bien haute, que les orignaux soit bien installé dans leurs ravages… Et ils les courraient avec des chiens pour les épuiser et les acculer dans creux de neige pour pouvoir facilement les récolter de proche. Et une fois en hiver, pas de stress pour la conservation, la viande gèle. Parce que la conservation c’est aussi un autre facteur par rapport à l’orignal..! En été ou en automne quand il fait chaud, à l’époque des autochtones ils pouvaient pas récolter ça éthiquement! Pour eux l’éthique c’était de rien perdre… Si il fait chaud, c’est pas long que tu perds de la viande… Et Paul Provencher lui-même a déjà voulu faire le test, si on veut! En fait il s’était mis le défi de récolter un orignal à l’arc traditionnel. Et son voyage se déroulait autour d’un lac où il s’était fait déposer en avion. Et oui, il a recolté son orignal, mais je pense que ses mots de la fin c’était quelque chose dans le genre de : plus jamais! Hahaha… Dans le livre on voit une photo, Paul, son orignal couché sur le dos, les 4 pattes accrochés à des arbres, en train d’enlever la peau… La grosse job commence… C’est de l’ouvrage dépecer un orignal de 1000 livres en pleine forêt pour le faire entrer dans une avion ensuite… D’après moi lui non plus il a pas « bagossé » pour « pigrasser » après la carcasse pour perdre aucune viande! Des petits morceaux de viande il a dû en laisser un peu dans la forêt..! Ensuite tu me fais penser aux riches américains qui venaient chasser l’orignal ici dans les années 1950 genre… Entre toi pi moi… Eux c’était carrément que des chasseurs de trophées… La viande… Peut-être pour y gouter, mais pas pour en rapporter… D’après moi, je pense…! Ça fait que… Des orignaux à gros panaches, qui une fois abattus sont restés pour pourrir dans le bois, il doit en avoir eu quelques uns! Au mieux peut-être qu’une partie de la viande était récoltées seulement… Mais pour répondre sincèrement à ta question, c’était soit en quartier, trainés à force d’hommes ou avec un cheval! Et pour la conservation, c’était canné! Ma grand-mère a déjà fait ça dans son enfance. Son père était chasseur. Une fois il avait tué un orignal, pi ça pressait pour le canner. Surement un peu pour la chaleur, mais aussi parce qu’il avait pas le droit de le récolter, pi ça pressait pour le faire disparaître… tsé! Toute la famille avait travailler fort toute la nuit pour faire la boucherie, cuire la viande et la canner pour que rien ne paraisse et que personne s’en rende compte… On parle ici de 1950, histoire de petit village et de famille de 12 enfants dans une maison qui serait petite pour 4 personnes de nos jours…! L’argent ils connaissaient pas ça… Autre temps autre moeurs!

Je pensais que en plus de tout ce que tu mentionnes qu’il ne garde pas, ne pas garder la peau sur la viande c’était un autre blasphème à tes yeux Et s’en est sûrement un… Sauf que j’ai pas eu le courage encore de littéralement plumer mon oiseau. Ce que je fais c’est que je coupe/déchire la peau en enlevant ainsi les plumes et la peau d’un coup… Mais je me suis promis que mon dindon d’automne je vais le plumer On dit que de le bouillir entier en premier ça facilite les plumes à s’enlever. C’est ce que je vais essayer. Ensuite je pourrai comparer si la cuisson avec la peau ou sans la peau est mieux. Et je verrai si je le cuisine en entier complètement, ou si je sépare cuisse et poitrine.

Il reste encore de la viande sur le dos, les ailes, le gésier, le coeur et le foie… Toi c’est la carcasse et la peau surement qui t’agace? Comment en prendrais tu soin?

Si il veulent un coup de main rapide… Je connais un chasseur de lièvre et de dindon qui serait bien intéressé à chasser quelques phoques par années

Ah ben merci pour récit @tom123! Le dindon ça marche pas sur commande hein Quand ça veut pas ça veut pas.

Surtout avec la bonne cuisine que tu fais, tes poubelles doivent être celles qui sentent le mieux dans toute la rue

Pi quand c’est la saison du dindon je me lève à 2h30 samedi et dimanche

Faut dire aussi que où vous alliez y’avait beaucoup d’orignaux.

Pour les ratons laveurs, à notre camp je mets toujours notre pied de parasol en béton sur ma glacière Y va en forcer un coup pour voler mes biscuits

Un très bon traqueur de toute en fait Si il se met au défi de traquer quelque chose, il le réussit!

Faut voir aussi c’est quoi sauvage… Un camping aménagé de la sépaq, même en endroit reculé c’est pas nécessairement dangereux pour les ours. Par exemple sur la reserve À-chat-mouche-oine… Ou à vos souhaits ()… Même si c’est le paradis de l’ours noir, le camping est sur une pointe du lac coupé par la grande route, pas stressant pour les visites d’ours.

Je mettrais ma/mes glacières dans ma boite de camion.

Bon courage à ton père pour sa santé et bon courage à vous pour l’accompagner dans tout ça.

Belle pêche! Des belles grises!

Le guide dont tu parles c’est tu Marc André Aucoin? Il a un gros KingFisher bleu je pense. Il était là en tous cas, on a vu passer ses photos sur son Facebook… Un assez bon pêcheur le gars!

Quand un gars part plus tôt et qu’il laisse son sac en plein milieu du trailer DU gars hyper organisé, hyper à l’ordre, chaque outils à sa place à la fin de la journée, tiroirs et armoires identifiés pour chaque chose…

Tu veux plutôt dire… sur la prospection pour le dindon d’automne

Comme dit le dicton, vaut mieux faire l’ours devant un mort, que de faire le mort devant un ours… Devant un opposum c’est peut-être la même chose

Donc dans sa chanson Hot legs, il parlait juste de cuisses de poulet

Il n’en est pas à son premier tour de jardin

As-tu essayé de lui faire peur pour voir si il ferait le mort?