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Le prix de l’essence n’a pas fini de monter, libérer nous de couillard


mini pro 165

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Pompier52, dans mon coin il n'y a que des gens intelligent. À chaque fois que je discute des ( bon ) coups de notre gouvernement, tous mes voisins me disent qu'ils n'ont pas voté pour lui... Je me demande bien comment le couillon a fait pour prendre le pouvoir avec si peu d'électeur ?

Facile a comprendre,tes voisins n'ont pas été voté.

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Peu importe qui est au pouvoir c’était déjà dans les plans du gouvernement provincial et bientôt celui du fédéral. Être vert et sauver la planète en même temps, non mais, c’est la meilleur invention du siècle, ça permet de ramasser d’énorme sommes d’argent pour faire quoi au juste? Au moins si ça servait à arrêter l’utilisation des technologies des gros pollueurs. Tu peux continuer de polluer par contre tu seras taxés, pas grave nous allons refiler la facture aux consommateurs.     

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Si le prix des énergies fossiles ne monte pas, les gens n'auront aucun incitatif pour changer de mode de transport. Les européens paient déjà deux fois plus que nous pour l'essence et, croyez-moi, ils ne se privent pas de voiture.

 

Personnellement, bien que je possède deux véhicules et demeurent à la campagne, je suis tout à fait d'accord avec cette augmentation qui me semble un pas dans le bonne direction.

 

C'est bien beau de râler contre le déversement des eaux usées, mais le réchauffement global est un problème beaucoup plus urgent et il est plus que temps de faire qqchose. Nous pouvons contribuer à diminuer le problème en changeant un peu nos habitudes.

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«je suis tout à fait d'accord avec cette augmentation qui me semble un pas dans le bonne direction......?»

 

la seule direction ou le «bon pas» nous emmène est que c'est l'économie qui en souffre....., quand l'essence augmente, tout augmente.....!, tu es d'accord avec ca.....! :blink: 

 

pense qu'on paye déja assez cher au québec...., on est les  plus taxés....., quand bien même  que les européens payent l'essence le double de nous autres  ca change quoi......?, on est pas obliger de faire pareille.... :blink: 

 

pas p.c. que les européens payent l'essence le double plus cher  que la planète tarde a se réchauffer en europe........ :blink: 

 

le réchauffement de la planète est un «cycle naturel», on a pas d'affaire a payer pour ca..... , les gaz a effets de serre, que le gavarnement comme par se «serre-r» la ceinture et ca va bien aller...

 

les gaz a effets de serre, de la foutaise pure et simple...., c'est la plus grosse magouille mondiale sur la planète..... 

 

https://www.faisonslepoureux.gouv.qc.ca/fr/plan-d-action-du-quebec/contribution-a-l-effort-planetaire

 

contribution a l'effort «planétaire», ca devrait s'intituler, «contribution a l effort monétaire»...... 

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Si le prix des énergies fossiles ne monte pas, les gens n'auront aucun incitatif pour changer de mode de transport. Les européens paient déjà deux fois plus que nous pour l'essence et, croyez-moi, ils ne se privent pas de voiture.

 

Personnellement, bien que je possède deux véhicules et demeurent à la campagne, je suis tout à fait d'accord avec cette augmentation qui me semble un pas dans le bonne direction.

 

C'est bien beau de râler contre le déversement des eaux usées, mais le réchauffement global est un problème beaucoup plus urgent et il est plus que temps de faire qqchose. Nous pouvons contribuer à diminuer le problème en changeant un peu nos habitudes.

Tu accepte une et une seule cimenterie qui détruira tout tes efforts,

alors maintenant tu doit en faire plus,et le cercle vicieux recommence.

 

Tu laisse une compagnie pétrolière renversé le flot de pétrole sur ton territoire sans rien demandé en échange

aucune taxe aucune redevance,non pas pour faire de l'argent mais pour te protégé en cas de déversement.

Viens chez moi je vais te montré ce pipeline,les maisons sont a trente pieds de cette aberration.

Imagine ton sous-sol avec un déversement.

Le pipeline est en haut d'une pente alors toute les maisons en bas de cet pente seront scrap et qui payerais 

pour ça.

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en bref, ce qui écoeure le peuple, c'est toujours et toujours une taxe sur l'essence, ils ont juste ca dans tête..... :blink:  :blink:  :blink:

 

il doit surement avoir d'autres moyens qui existe que de taxer l'essence me semble....

 

si les véhicules polluent tant qu'ca, qu'ils les enlèvent .......point final....!!!, on va revenir avec les chevaux, avec les chevaux y va avoir un autre problème....la marde.....

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lisez ca.....!

http://info-resistance.org/ecologie/rechauffement-climatique/

 

Est ce que le réchauffement climatique est un menace artificielle pour mieux faire passer les lois du capitalisme vert ?

Essayons de comprendre si cette idée est pertinente.

Le réchauffement climatique causé par l’homme, s’il est avéré doit nous obliger à réduire notre consommation de pétrole, de charbon, de gaz. C’est évidemment impossible dans l’état actuel de notre modèle socio-économique. Imposer cela au pays occidentaux de façon rapide ne peut se faire sans un changement radicale de notre mode de vie tant nous sommes dépendant des énergies fossiles. La population va certainement manifester un mécontentement si on impose une mutation rapide et radicale. Or les réserves en pétrole, en gaz et en charbon sont limités et on commence à en cerner les limites dans le temps. Il n’est pas possible pour les pays pauvres de se développer sur notre modèle économique sans accélérer l’épuisement des ressources d’ énergie fossile. Le réchauffement climatique apparaît dès lors comme un argument pour économiser les ressources et faire durer un peu plus longtemps le modèle économique et énergétique tout en limitant le développement des autres pays émergents. Au passage, on en profite pour faire payer à la population sa consommation en augmentant les prix, en instaurant des taxes, ce qui augmentent les profits des sociétés pétrolières. Ces mêmes sociétés à qui ont ne fait pas payer le prix de la mutation de notre modèle énergétique et qui compense leur réduction profit par la hausse des prix.

Les sceptiques évoquent l’idée qu’il existe des  lobbys écologistes qui souhaitent développer l’agriculture bio, les éoliennes, panneaux solaire etc… Après tout, pourquoi pas, mais dans ce cas là il faut accepter qu’ils existent des lobby inverses. De plus à la différence du pétrole, du gaz, du charbon les énergies renouvelables offrent une véritable indépendance énergétique, économique, même si elle n’est que partielle.

Effectivement, cela se tient, il est même certain que l’idée de taxer le carbone, de spéculer sur la rareté et les quotas d’émission de CO2 font partie du programme capitaliste des sociétés pétrolières, des compagnies minières etc.  Mais il est peu probable que ces lobbys du pétrole aient inventé le réchauffement climatique pour justifié des taxes et hausses des prix. Si on approfondit la réflexion, il y a des failles sérieuses dans ce raisonnement.

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Doutes sur l'origine humaine du réchauffement

Si l'on admet la possibilité d'un réchauffement, la question de son origine suscite de très nombreuses interrogations scientifiques, toujours pas résolues.

La thèse de l'origine humaine du réchauffement est la suivante : les températures de la Terre sont en croissance en raison d'une production excessive de gaz à effet de serre, et plus particulièrement le dioxyde de carbone; cette surproduction serait elle-même causée par une activité humaine excessive et une croissance démographique trop rapide. C'est ce que prétend le film-documentaire d’Al Gore, "Une vérité qui dérange" (2006).

Cette théorie s'appuyant essentiellement sur des modèles informatiques est très loin de faire l'unanimité dans la communauté scientifique. Comme l'écrit l'institut royal de météorologie belge, « les émissions humaines de CO2 jouent un rôle mineur dans le réchauffement observé en certains endroits de la planète. L'institut déplore que le film de M. Al Gore, The Inconvenient Truth, donne des réalités scientifiques une image faussée »[2].

Nombreux sont ceux qui rappellent la variabilité naturelle du climat. Reid Bryson, un des fondateurs de la climatologie moderne, l'exprimait en ces termes : « bien sur que la température croit. Elle croit depuis le début du XIXe siècle, avant la révolution industrielle, car nous sortons du Petit Age Glaciaire, pas parce que nous émettons plus de dioxyde de carbone dans l'air »[3]. Les paléoclimatologues ont constaté que pendant le Dryas récent (dernier épisode glaciaire il y a environ 11 000 ans) la température a pu varier de 7 °C dans un sens comme dans l'autre en très peu de temps (quelques dizaines d'années).

Autre illustration, en mars 2007, le réalisateur Martin Durkin recueille dans son documentaire (sous-titré en français) "The Great Global Warming Swindle" (La grande escroquerie du réchauffement climatique) le témoignage de scientifiques renommés montrant les limites de cette théorie et proposant d'autres théories comme celle de l'influence de l'activité solaire. Parmi les intervenants de ce documentaire on retrouve Patrick MooreRichard Lindzen (MIT), Patrick Michaels (université de Virginie), Nigel Calder (journaliste scientifique), John Christy (Nasa, université d'Alabama), Tim Ball (Natural Resources Stewardship Project), James ShikwatiPhilip Stott (université de Londres), etc.

Le film cite notamment une étude de Ján Veizer de 2005 (Ottawa-Carleton Geoscience Centre, University of Ottawa), "Celestial Climate Driver: A Perspective from Four Billion Years of the Carbon Cycle" établissant la corrélation à différentes échelles de temps ainsi que l'influence complémentaire d'autres types de rayonnements cosmiques ayant notamment une influence sur l'évaporation d'eau et la couverture nuageuse.

D'autres facteurs probables, beaucoup plus importants comme les variations à long terme des paramètres de l’orbite terrestre (cycles de Milankovitch) sont laissés de côté. Impossible évidemment d'influer sur ces facteurs, qui n'ont donc aucun intérêt pour les partisans de l'interventionnisme.

La planète Mars se réchauffe également, et ce n'est certainement pas dû à l'activité humaine[4].

Le climat n’a pas attendu la révolution industrielle pour opérer des fluctuations importantes. Le climat a toujours fluctué. On détermine plusieurs grands épisodes climatiques sur le dernier millénaire :

  • de 900 à 1300, une période chaude a notamment permis à une colonie viking de s’installer au Sud du Groenland et d’y prospérer, en y élevant du bétail ;
  • le climat s’est ensuite progressivement refroidi pour laisser place au « petit âge glaciaire » qui a duré de 1550 à 1850 environ. Durant cette période, les glaciers alpins ont avancé de 1000 mètres avant de céder progressivement du terrain, au fil du réchauffement constaté durant le XXe siècle et qui se poursuit probablement aujourd’hui.

Une cause possible des changements climatiques (outre la variation de l'orbite terrestre) est l'activité solaire ; en effet, le soleil transmute de l'hydrogène en hélium, en libérant à chaque seconde une énergie considérable, en raison de la loi d'Einstein : dE = dMc². Il devient inexorablement une géante rouge, ce qui fait qu'à long terme (si l'on compte en milliards d'années), le réchauffement est une certitude.

On pourra consulter les articles de ces scientifiques pour approfondir la question : Henrik SvensmarkWilliam GrayBob CarterHendrik TennekesWilliam HapperPhilip StottSerge GalamAugusto ManginiFreeman Dyson.

Doutes sur l'opportunité de « prendre des mesures » pour y remédier et sur les mesures préconisées

Il y a chez certains écologistes une inaptitude à admettre le changement. Ils voudraient figer le monde dans un équilibre qui serait non pas celui du présent mais celui d'hier, idéalisé. Comme l'affirme Michael Griffin, administrateur à la NASA[5] :

«
Supposer que le réchauffement climatique est un problème, c'est supposer que le climat de la Terre aujourd'hui est le climat optimal, le meilleur qu'on puisse avoir ou qu'on ait jamais eu, et que nous devrions prendre des mesures pour nous assurer qu'il ne changera pas. Je voudrais bien savoir à quelles personnes il faudrait accorder le privilège de décider que le climat d'aujourd'hui est le meilleur pour tous les autres êtres humains. Je pense que c'est un point de vue plutôt arrogant.
 »

L'homme est vu par les écologistes comme un élément étranger à la nature, qui ne fait que la perturber. La richesse humaine pour eux ne peut être que « naturelle » et non créée par le travail ou l'épargne, d'où leur comportement malthusien.

Également, les défenseurs de l'environnement ignorent intentionnellement le fait prouvé depuis longtemps que plus la société est riche, plus la qualité de l'environnement est grande. Il suffit de comparer les niveaux de pollution entre les pays développés et les autres, et aussi la qualité de l'environnement au XXIe siècle avec celle des années 1950, bien inférieure (pollution automobile et industrielle, chauffage urbain au charbon, etc.).

Il n'est pas prouvé non plus que le réchauffement climatique soit globalement un mal (conclusion hâtive qui découle du fait qu'on présente le climat comme un « bien collectif »). Dans certains endroits il pourrait avoir des effets bénéfiques, comme dans l'océan Arctique, où la fonte de la banquise permettrait d'ouvrir de nouvelles routes commerciales entre continents, plus courtes et donc plus économes en carburant. Dans d'autres endroits (Atlantique Nord), c'est au contraire un refroidissement qu'on peut craindre. On ne voit pas pourquoi un phénomène aussi complexe devrait être globalement négatif.

En admettant que le réchauffement climatique soit d'origine humaine (ce qui n'est pas du tout prouvé), et qu'en outre il ait des effets davantage négatifs que positifs (ce qui est discutable), que faut-il faire ?

  • Certains veulent réduire tout de suite les causes supposées humaines (réduction des émissions de CO2) de façon draconienne. Ils ne se soucient pas de l'impact que cela peut avoir sur les pays développés, et bien davantage sur les pays en voie de développement, qui s'en trouveraient défavorisés par rapport aux premiers.
  • D'autres affirment qu'on ne peut plus rien faire pour empêcher le dérèglement climatique et ses conséquences, et que l'acceptation du protocole de Kyoto ne changerait pas grand-chose pour les 50 prochaines années. Il faudrait donc surtout chercher les moyens de s’adapter aux changements. Or, face aux problèmes environnementaux qu’ils dénoncent, les écologistes refusent des réponses nouvelles, des progrès techniques tels que les OGM, le nucléaire pour remplacer le pétrole, etc.

On peut même reprendre un des critères de justice de John Rawls pour réfléchir à la question. Nos enfants et nos petits-enfants seront, même dans des hypothèses de croissance assez pessimistes, plusieurs fois plus riches que nous. Or, il n'est pas juste qu'un pauvre paie pour un riche : en l'occurrence, il n'y a pas lieu de "préserver" aujourd'hui la richesse future de générations non encore nées, alors que lesdites générations pourront traiter ce problème (en remédiant à ses causes ou bien à ses conséquences) bien plus aisément que nous.

Faut-il donc « prendre des mesures » ? Lesquelles ? Comment déterminer quels secteurs ou quelles personnes doivent être pénalisés par ces mesures ? Comment mesurer l'efficacité de ces mesures, à supposer qu'elle soit mesurable (le consensus n’existant pas non plus sur les conséquences et sur l’ampleur du changement climatique) ? Faut-il à tout prix des interventions étatiques ou peut-on compter sur l'initiative individuelle ? Autant de questions qui restent souvent sans réponse.

Richard Lindzen, chercheur au MIT de Boston et spécialiste du climat, affirme :

« Le climat va changer, quoi que nous fassions, même sans effet de serre dû aux hommes. Il faut se préparer. C’est la raison pour laquelle il faut augmenter la prospérité dans le monde. La prospérité fait que lorsque vous avez un tremblement de terre à Los Angeles, personne ne meurt. Quand il s’en produit un à Téhéran, il y a des milliers de victimes. Kyoto fait exactement l’inverse. Il dit : "nous devrions tous être plus pauvres". Il nous fait perdre de vue les vraies priorités ». Doutes sur les intentions de ceux qui préconisent des mesures

Il faudrait réduire les niveaux d’activité économique et de population humaine, pour réduire le dioxyde de carbone dans l’air (c'est en tout cas la conclusion du film d'Al Gore). On peut se demander si une telle préconisation ne vise qu’à terroriser les populations et à contrôler l’activité économique des pays.

 

le meilleur «résumé»  de touts les temps est ici.....(en vert)

***** Le point de vue libertarien est que le sujet n'est plus scientifique, car il est gangrené par la politique. Les chercheurs vivent d'argent volé au contribuable, et leurs prétendues découvertes servent de prétexte au pouvoir pour tenter d'infliger un surcroît d'oppression sur les populations. Le postulat de la cause anthropique au réchauffement est l'occasion rêvée pour les politiciens de règlementer toujours plus et de restreindre nos libertés. Le prétexte écologique du « problème mondial » pourrait donner naissance à un « gouvernement mondial » totalitaire, administré par une classe de super-bureaucrates parasites.

Global warming labeled a 'scam' : le réchauffement climatique est une énorme industrie « anti-industrielle », créée par des écologistes fanatiques, supportée par des scientifiques en quête de subventions, nourrie par les médias et les politiciens.

Le président tchèque Václav Klaus a contesté avec virulence en 2007 le soi-disant changement climatique et jugé les activités des défenseurs de l'environnement plus dangereuses que le communisme : « Le communisme a été remplacé par la menace d'un environnementalisme ambitieux. (...) Le raisonnement (des écologistes) s'appuie sur des observations historiquement courtes et incomplètes et sur des données qui ne peuvent nullement justifier des conclusions catastrophiques »[6].

Les politiciens de gauche ne cachent d'ailleurs pas leurs intentions, qui vont bien au-delà des préoccupations environnementales :

« Peu importe que la science soit complètement bidon, il y a des bénéfices collatéraux pour l'environnement... Le changement climatique nous donne la meilleure chance d'apporter la justice et l'égalité dans le monde. C'est un excellent moyen pour redistribuer les richesses. » (Christine Stewart, ministre canadienne de l'environnement de 1997 à 1999[7])

Patrick Moore (ancien dirigeant et co-fondateur de Greenpeace) voit deux raisons à l'apparition de ce radicalisme climatique :

  • la banalisation du message écologiste réclamait une position radicale sur de nouveaux thèmes, et celui du réchauffement planétaire était approprié ;
  • l'échec du communisme a entraîné le recyclage des activistes marxisants vers des sujets écologiques qui leur permettent d'exprimer leur anticapitalisme et leurs thèses antimondialistes.

On se souvient d'autres manœuvres du même genre utilisées dans le passé par les politiciens et leurs affidés :

  • l'hiver nucléaire, le refroidissement climatique (années 1970)
  • les pluies acides censées détruire toutes les forêts du monde (années 1980)
  • le trou de la couche d'ozone laissant passer des rayons ultra-violets nocifs et contribuant à l'effet de serre (années 1980-1990) : malgré les mesures prises, ce trou continue toujours de s'agrandir, mais l'impact est limité.

Les révélations récentes dans le cadre du « climategate » laissent également à penser que de nombreux procédés très critiquables ont été mis en place pour faire « coller » les observations discordantes à la théorie de l'origine humaine du réchauffement, de même qu'une censure du débat scientifique a été mise en place et de nombreuses pièces dissimulées :

Le « réchauffisme » aura été la plus grande imposture intellectuelle de la science moderne. Jamais, en effet, autant d’argent et d’énergies, scientifiques et médiatiques, auront été mis au service d’une démarche politique drapée des oripeaux ennoblissants de la science. (Drieu Godefridi) Vers de nouveaux mythes interventionnistes

Dans son livre La peur exponentielle (avril 2015), Benoît Rittaud suggère que de nouveaux mythes pourraient prendre la relève du "mythe climatique" quand ce dernier perdrait de sa séduction. La géologie pourrait être invoquée pour suggérer que l'impact global des activités humaines aurait pris le dessus sur les forces géologiques et naturelles : ce serait l'anthropocène, nouvel intervalle dans l'échelle des temps géologiques, avènement de l'activité humaine comme « force géologique » majeure capable de marquer la lithosphère.

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@morrum. Tu as raison sur les cimenteries et l'incohérence du gouvernement concernant les pipelines, mais ça ne change rien au problème du réchauffement et au fait que le transport y contribue pour beaucoup. Il y a de nombreuses solutions à l'essai présentemment et avant que le prix du pétrole n'atteigne le plafond redouté, nous aurons des choix à la fois économiques et écologiques.

En tout cas je l'espère.

 

@minipro. Je connais la plupart des arguments des climatosceptiques. Libre à toi d'y croire...

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