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Joel-Gh

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Tout ce qui a été posté par Joel-Gh

  1. Tu ne seras pas déçu, crois-moi. Et il est tellement gentil et compétent. Il y a un hôtel pour travailleurs à Wemontachie, mais c'est cher et pas très confortable. Il y a des pourvoiries tenues pas des Attikameks. Ça, je n'ai jamais essayé. Des amis m'ont dit avoir beaucoup aimé l'une d'entre elles. Je me renseigne. Baie-St-Paul est davantage ta destination pour la soirée et la nuitée. La sortie en bateau pour voir les baleines se déroulent plutôt entre Tadoussac et St-Siméon. Cherche : baleines Charlevoix. Et tu verras qu'il y a plusieurs compagnies. Voici les paramètres que tu veux prendre en compte: - un petite embarcation ajoutera à la force de l'expérience. Tu seras beaucoup plus proche de l'eau. C'est légèrement plus cher (pas toujours), mais ca risque d'être plus sympathique. - Avant de prendre la réservation pour les baleines, je m'assurerais que c'est un bon temps de l'année pour le faire. Si ce n'est pas le cas, change ça pour une journée de pêche à l'embouchure de Saguenay! Cet écosystème est d'une richesse exceptionnelle. - assure-toi qu'il a un biologiste ou un naturaliste à bord. Ce n'est pas tout de les voir, il faut les comprendre. Et apprendre à les aimer.
  2. @buddy longway: La Batiscan figurent parmi mes rivières préférées. Et je préfère de beaucoup cet endroit à l'autre grande rivière très connue. D'ailleurs, j'y vais été comme hiver. Un très beau parc régional plus au nord. Quant à la manière de pêcher: je préfère de beaucoup le grand air. Tant mieux si des gens aiment les cabanes, moi, vraiment pas mon style. Pour la peche au doré, M. Lemay peut te dire si c'est sécuritaire et même t'y conduire avec ton équipement pour 5$. @StevenGirard j'ai pêché sans grand succès en aval des piliers. Je retiens tes recommandations pour ma prochaine visite. Ce que les gens de la place me disent: quand le poulamon monte la rivière, le doré le fuit en allant vers le fleuve. Ta remarque sur les marées ont du sens dans ce contexte.
  3. @Steven et Eric: merci pour la correction (permis obligatoire pour les quais du fleuve pour un non-résident). En effet, j'ai eu un petit glitch. Je pensais à tous ces gens que j'ai initiés à la pêche sur nos quais. Ils étaient québécois. J'ai oublié pour une minute que je parlais à un monsieur des Europes. Merci les boys! @Eric : super belles photos. Toi aussi tu nous fais voyager.
  4. Ok. Dave : Imaginons que c'est moi qui organise MON voyage de pêche rêvé. Voici ce que je ferais et qui j'engagerais. Maintenant, c'est à vous de voir si cela correspond à votre budget. C'est OK, ça ? 1) Montréal (une ou deux nuitées) Arrivée. Logement : pour loger très confortablement et à bon prix, je te recommande la chaîne d'hôtel "Confort Inn". C'est beau, sans être chic, propre et bien tenu. À prix abordable. Journée d'aterrissage et de magazinage (visite l'un des magasins Sail.ca). Sortie avec le Pêcheur urbain (Bruno Tessier : va voir ses expéditions montréalaises sur YouTube). Je lui dirais : "Je veux faire l'expérience de pêcher les poissons les plus exotiques et bizarres sur le Fleuve, en pleine ville. Tu m'emmènes où ça sera le plus l'fun et la plus belle expérience en ta compagnie.". Je lui ferais totalement confiance pour te trouver quelque chose d'exceptionnel que tu ne vivras nulle part ailleurs. 2) Trois-Rivières (une ou deux nuitées) Logement : dans un beau petit "Bed and Breakfast" (comme le Gîte Loiselle : http://giteloiselle.com/fr/accueil/). Pêche sur le Fleuve, le Lac St-Pierre et la rivière St-Maurice avec Daniel Robitaille (http://danielrobitaille.com/), l'un des guides les plus estimés du Québec, et qui demeure à Trois-Rivières. Tu n'es pas prêt d'oublier une sortie à l'achigan (bass, en anglais), à l'esturgeon ou au doré avec Daniel Robitaille. Comme on dit ici : "On ne sait jamais ce que l'on va pêcher dans le fleuve.", tant les poissons y sont nombreux et variés. As-tu pensé pêcher au maskinongé ? Tu aimes pêcher les carnassiers, il me semble. Si c'est le cas, tu veux pêcher le maskinongé (Musky). C'est possible sur le fleuve et la St-Maurice. Par contre, vaut y aller avec un bon guide, car il faut savoir où se trouve le poisson. Comme cela demande un équipement spécial, demande à Daniel ou autre guide de t'équiper pour la journée. Tu devrais sortir de ta journée "courbaturé", à cause des combats avec le maski et/ou le brochet. Ce serait génial. Et le Lac St-Pierre et/ou les iles, c'est proprement fantastique ! 3) La Tuque (une ou deux nuitées) Logement : Je logerais à l'auberge Le Vermillon. Pêche : Trajet de 135 km entre TR et La Tuque : une journée entière pour le faire lentement et m'arrêter partout. J'arrête à tous les petits spots de pêche possibles. Là où c'est beau. Juste pour admirer l'une des plus grandes et belles rivières du Québec. Ex : j'arrête pêcher la truite sur la Shawinigan ou la St-Maurice avec des gens de là-bas, je m'arrête à Grandes Piles et à un ou deux autres endroits. Je m'organise pour arriver à 17:00 à La Tuque, où là je "check-in" à l'hôtel et je vais pêcher au brochet au quai municipal de la rue Montcalm. N'oublie pas qu'en juin, tu pourras pêcher jusqu'à 21:30... à la clarté !!!! J'adore cet endroit. En pleine ville et en pleine nature à la fois. Si tu as des "botterlots" — bottes jusqu'à la taille —, tu pourras même aller sur la petite île et pêcher presqu'au milieu de la rivière. 4) Réservoir Gouin : Une des pouvoiries (3-4-5 jours) Je prendrais la prochaine journée pour faire lentement le trajet entre La Tuque et une des pourvoiries du Réservoir Gouin. Je préfère ne pas t'en suggérer car plusieurs de nos membres y travaillent ou y vivent. Ils sauront mieux que moi te recommander une des pourvoiries qui s'y trouvent. Personnellement, je ferais l'expérience d'une ou deux nuitées en "bateau-maison". Durant ce trajet et là-haut, on commence à vivre ce que veut dire la nature sauvage du Québec. À partir de La Tuque : votre véhicule doit être un 4x4. Note : Les Attikameks habitent surtout trois villages, dont Wémontachie (sur ton chemin) et Opitchewan (sur le Réservoir). Tu voudras peut-être considérer un séjour plus ou moins long avec un guide de cette nation. Ils parlent le français. Aucun problème. Moi, j'irais sans hésiter, car j'aime vraiment beaucoup les Attikameks. En m'informant un peu, je pourrais t'en trouver un bon. Dis-moi si c'est ce que tu veux. 5) Ville Saguenay (une ou deux nuitées) Moi, personnellement, je demanderais à pêcher sur le Fjord et le Lac St-Jean. Hébergement : Le Montagnais (http://lemontagnais.qc.ca/). Après un séjour en nature, et pas toujours dans le plus grand confort, j'aimerais me dorloter dans un bel hôtel. Côté pêche : Le Lac St-Jean est une merveille : un immense lac. Si c'est possible, juste pour le plaisir de pêcher dans des profondeurs inouïes et de voir des paysages à couper le souffle — je me répète — je demanderais à pêcher dans le Fjord. 6) Baie St-Paul, baleines et Charlevoix (une ou deux nuitées) Ici, on retourne au Fleuve. Je descendrais par la route 172, vers Tadoussac. Sortie Baleines, Fleuve et Fjord en PETIT BATEAU. Cette région est magnifique, le fleuve y est très large. Il vaut la peine de se rendre à Baie-St-Paul en prenant son temps pour admirer. Tu peux arrêter pour pêcher à tous les quais du fleuve, sans permis. Juste le plaisir d'être là. Et ta destination, un joyau : Baie-St-Paul, avec ses rues pittoresques, ses auberges et artistes. Là, on peut choisir de demeurer dans un "bed & breakfast" (ils y sont nombreux et, pour la plupart, charmants : http://www.quebecvacances.com/gite_baie-saint-paul) ou dans un hôtel comme le Germain (http://www.legermainhotels.com/en/charlevoix/). 7) Québec (une ou deux nuitées) Personnellement, je me garderais toujours une ou deux nuitées à Québec. Pour le charme de la ville, la bonne bouffe, les gens et le plaisir d'y passer quelques heures. De Québec, se rendre à l'aéroport de Montréal, c'est 3 heures, si bien que je passerais ma dernière nuit à Québec. Côté hébergement : il y en a plein. Personnellement, pour des raisons de coût (ça peut être très cher à Québec), j'irais du côté d'un Confort Inn ou d'un Gite du passant (B&B au Québec). Côté pêche : Je demanderais à l'un des membres de ce forum de t'amener sur le fleuve, au doré, par exemple. Beaux paysages et plaisir de pêcher, peut-être même en pleine ville. Oui, le fleuve est plus petit à cet endroit-là, mais il fait encore 1,5 km de large ! Pour moi, ce serait un voyage de rêve. Inutile de te dire que ça dépend de votre budget, de votre désir de rester plus longtemps en grande nature et/ou de combiner tourisme et pêche. Ici, il y a une coutume. Si une personne t'amène gracieusement dans son bateau, tu lui offres de payer son "gaz" (essence) et/ou sa nourriture et/ou même un bonne caisse de bière. Une autre manière de le remercier : si tu remarques que l'un de tes leurres "fonctionnent à plein", tu l'offres à la personne qui t'accueille... et tu retournes t'en acheter un autre en passant au Sail de Québec ou de Montréal, avant de prendre l'avion. Presque partout, si tu es branché, tu peux prendre la carte de la Fédération des pêcheurs et chasseurs du Québec : http://carte.allonspecher.com/ C'est, très souvent, un excellent départ. L'an prochain, tu reviens, et tu fais un voyage de pêche en Gaspésie, que tu n'oublieras jamais de ta vie. Durée : au moins une semaine et demie. On y pêche le "king" (saumon atlantique) dans des rivières d'une limpidité exceptionnel et dans la mer (les quais sont nombreux). L'année suivante, tu viens faire un une autre voyage en Outaouais ou en Abbitibi. Ensuite, ta 5e année, tu vas sur la Côte-Nord : côté "impression d'immensité" et limpidité de cours d'eau qui défient l'imagination par leur grandeur : impossible à égaler! Quand tu en auras assez du "Sud", planifie-toi une montée dans le Moyen-Nord ou même le Nunavik, sur les terres complètement vierges du Québec. J'ai vécu à la hauteur du cercle Arctique : la toundra, des lacs à perte de vue, des caribous, etc. Au bout de 6 ou 7 ans de voyages de pêche au Québec, tu auras une petite idée de cette magnifique "bulle francophone" au Nord de l'Amérique. Ça te va comme "pointers" ?
  5. @Eric: toi, tu connais ça! Absolument la même chose ici. :-)
  6. Tressé de 10 lbs est mon fil régulier. J'en ai deux en 15 lbs. Presque toujours avec leaders de fluoro. Comme on dit, ça torche!
  7. En effet, lerap, J'ai eu toute une surprise, il y a un an, en allant au New-Hampshire. J'arrive au Bass Pro Shop (ou équivalent) et je me retrouve avec du matériel à DropShot et des vers artificiels à une fraction du prix. Laisse-moi te dire que "la tank à gaz" frôlait l'asphalte. Idem quand je suis allé en Gaspésie, l'été passé : des streamers étaient à super prix... parce qu'on utilise ça beaucoup là-bas. Ici : j'ai de la misère à en trouver. Bref, j'aimerais être à sa place, notre nouvel ami de la Belgique. Deux semaines complètes de pêche en pourvoirie et dans la nature : j'aimerais ça en SVP. Il va passer du bon temps au Québec, j'en suis persuadé.
  8. D'abord: parlons itinéraire. Quelqu'un te suggère le réservoir Gouin. C'est une excellente destination ultime. Tu arrives à Montréal. Tu peux facilement te faire quelques arrêts très significatifs qui feraient rêver n'importe quel pêcheur d'ici: 1) Montréal 2) Îles de Berthier et, surtout, Lac St-Pierre. Il faut avoir fait l'expérience du fleuve. 3) Tu montes par la Rivière St-Maurice : plein de lacs, de pourvoiries et de spots de pêche le long de la route. Les paysages seront magnifiques! Pour de petits arrêts spontanés, je te suggère la carte "allons pêcher" de La Fédération québécoise des chasseurs et pêcheur du Quebec (http://carte.allonspecher.com/). 3) entre La Tuque et Wémontachie, c'est une "autoroute de gravier", parfaitement entretenue. Plusieurs pourvoiries en chemin. 4) entre Wemo et le réservoir Gouin, chemin forestier. Ça se fait très bien. La Haute Mauricie est un paradis de pourvoiries et de spots de pêche. C'est la grande nature québécoise à quelques heures de Montréal. Note touristique: tu es sur un territoire qui est habité par une des Premières Nations: les Attikameks. Tu voudras passer au moins une journée avec un leurs guides. Peut-être plus, à toi de voir. Autre itinéraire: de La Tuque, tu montes en direction du Lac St-Jean et tu reviens à l'intérieur des terres, par Opitchewan et autres municipalités sur le Réservoir. C'est plus long, mais la route est un peu meilleure. Un peu moins pittoresque, par contre (my two cents). Note touristique: au retour, tu pourrais choisir de descendre par le Sagnenay ou Québec (La ville). Expérimenter le Fjord du Sagnenay et l'embouchure du St-Laurent, les baleines sur un petit bateau: inoubliable! Si ce type d'itinéraire t'intéresse, tu cherches alors des spots de pêche et des pourvoiries en Mauricie et Haute-Mairicie comme zone pivot. Cherche sur internet: Pêche en Mauricie et tu auras tout ce qu'il faut. Dernier point: je ne connais pas tout le monde sur ce forum, mais je peux te dire qu'il y a des amis pêcheurs à Trois-Rivieres, Shawinigan, Québec, etc. Ton voyage pourrait être bien organisé en partie avec des sites commerciaux et en partie avec des gens de la place. Ça te ferait un super beau voyage. Autre note: Le mois de juin est aussi un mois très "moustique". Tu achèteras ICI des chasse-moustiques et tout ce qu'il faut pour t'en prémunir. On saura te conseilller. C'est un excellent temps de pêche. N'hésite pas une seconde! Ultime note: tu aimerais peut-être visiter l'un des super-magasins de pêche et de plein-air dans la région de Montréal. Tant pour t'équiper pour ton voyage que pour rapporter des choses à la maison. J'ai assez voyagé pour savoir que dans les autres pays, on trouve parfois des aubaines fantastiques sur des choses qui sont, chez soi, très chères. Recommandation donc : à l'aller et au retour. Avoir un peu d'équipement nord-américain pour ton séjour, mais aussi pour la maison. Ceci, sans compter tous les petits magasins chasse et pêche en cours de route, avec des gens qui pourront te conseiller sur ce qui est local. ;-) Passe un bon temps parmi nous !
  9. Joel-Gh

    Bonjour à tous

    Bienvenu, Dave! Passe du bon temps parmi nous. Physiquement et virtuellement!
  10. Je pêche beaucoup à gué, car je suis aussi amateur de randonnée pédestre. Avec nos belles grandes rivières et lacs, tu comprends pourquoi c'est un élément important. Imteressant tes remarques sur l'inconsistance de la production.
  11. Ça, ce sont d'excellents commentaires. Pour les nœuds, je sais en faire une dizaine, mais je ne prends plus que le Uni-Knot, pour presque tout. Pour joindre deux lignes : le Double-Uni. Sur mes drop-shot, le Palomar ou le Double-Palomar. Le truc avec le Palomar ou le Uni sur le Nanofil est très simple : il faut serrer le nœud lorsqu'il est à sa place. Il paraît que la surchauffe du déplacement tend à émêcher les micros-brins de surface. C'est ce qui fragiliserait le fil. Donc, si on fait le nœud directement au bon endroit et qu'il est bien lubrifié, aucun problème. Pour ma part, bien franchement : je n'ai pas eu une seule cassure en 8 mois. Il est vrai que c'était du 10 et 15 lbs. La raison en est bien simple : je fais toujours le montage de mes lignes la veille ou le matin à la maison. Et les nœuds que j'utilise, je les maîtrise bien pour le nanofil. Au début, ça me prenait plus de temps, mais plus maintenant. Je prépare mes leaders aussi à la maison. Bref, c'est vrai, à part quelques exceptions : le problème ne se pose pas de la même manière pour moi. Pour la résistance, ça reste à vérifier pour moi, mais je serais porté à pencher de ton bord. Les fils tressés que j'ai utilisés jusqu'à maintenant ont largement dépassé les valeurs indiqués. Super remarque !
  12. En effet, la fissure était inquiétante., Si tu veux mon avis, les gars avec leurs tentes auraient dû lever le camp... mais bon, ils ont fait autrement. Des hélicoptères nous ont survolés à plusieurs reprises, hier. On était aux aguets et c'était apprécié. Il faut dire qu'avec les immenses bateaux qui passent tout près, ça prend ça !
  13. Tu sais, Claude, de là vient ma déception de beaucoup de "reviews", surtout aux USA. Ça sent la commandite à plein nez. À d'autres occasions, ce sont des gens qui ne prennent même pas le temps de lire le manuel et qui utilisent le truc tout croche — j'en parlerai bientôt quand j'aborderai le sonar iBobber, la semaine prochaine. Moi, ce dont je parle, c'est ce que j'ai acheté, utilisé et testé dans le contexte concret de la pêche au Québec. Je n'ai aucun intérêt financier, aucune commandite et je le fais avec un esprit critique — oui — mais avec un réel souci d'être utile à d'autres personnes qui aiment la pêche. Aucun autre intérêt. Et tant mieux si ça rend service ! :-)
  14. Sortie d'hier à Ste-Angèle. Super belle journée. Glace dure pour tarière manuelle de plus de 18 pouces (45 cm). Pêche avec 5 brimbales et 2 trous à jigger. Le poisson a mordu trois fois, mais je n'ai pas réussi à ferrer. On a juste sorti une grosse lotte ou loche. Pas vargeux !
  15. Ça confirme complètement ce que j'ai vécu hier et il y a une semaine (à moins 18). Hier, j'ai jiggé dans une fracture de la glace. Il y avait beaucoup de courant. Plein d'occasion de rester pris et de se briser ou de se casser sur le rebords. Au fait, ce n'est pas moi qui ai gardé ma tente sur le bord de la cassure, avec les brimbales de l'autre côté en plus. C'est moi qui ai pris la photo de l'une de mes brimbales.
  16. Ha ha ha ! Tu dis ça parce que tu ne me connais pas. Quand tu vas voir certaines de mes autres "reviews" (j'en ai trois dans le collimateur), tu verras que je ne suis pas souvent très positif sur quelque chose. Mais c'est vrai que, dans ce cas-ci, je suis vraiment enthousiaste. De là à être une pub... ! Comme on dit, hé bé !
  17. T'es drôle ! Je n'ai pas du tout l'intention de te faire changer d'avis. J'étais réellement intrigué: comment peut-on avoir des expérience diamétralement opposées comme celles-là? J'essayais juste de comprendre. Pour ma part, je suis un utilisateur de longue date des fils tressés presque toujours avec un leader de fluorocarbone. Hiver comme été. L'hiver, je mets juste un leader "ice", plus ou moins long, sur mes petites cannes. La canne avec le Nanofil va me servir encore plus dans deux semaines : là, je vais pêcher sur un réservoir de barrage avec des fosses à 30-40 pieds. C'est plus long que mes leaders d'hiver habituels (entre 15 et 20 pieds).
  18. @Octo Claude : Ben, t'es drôle, toi ! C'est moi, bien sûr. Je l'ai écrit hier soir, en revenant de ma journée de pêche sur la glace à St-Angèle. On y voit même mon vieux moulinet Quantum Optix-30 ; je voulais tester ce fil pendant l'hiver. Je ne voulais pas risquer de briser un de mes moulinets réguliers. Euh, pourquoi cette question ?!? :-)
  19. D'après ce site du gouvernement, Steven, il semble que la glace de mer est moins dense que la glace d'eau douce. https://www.ec.gc.ca/glaces-ice/default.asp?lang=Fr&n=3B7D67DE-1 Donc, je ne miserais pas sur cette explication. Par contre, que dirais-tu des marées ? De la glace qui se forme et se reforme, sous l'influence des marées, qui connaît d'importantes pressions... je crois que ça peut faire des couches très dures. À Trois-Rivières, il faut faire extrêmement attention au passage des bateaux ou du brise-glace qui nettoie la voie maritime. Je crois que c'est ce qui a créé le type de glace que j'ai observé aujourd'hui. Tentative de réponse, sans plus.
  20. Hé bé ! Là, vraiment, ton expérience est à l'opposé, complètement de la mienne. Y aurait-il des problèmes de constance dans la fabrication? Pourtant, un de mes fils a été acheté à Trois-Rivières (10 lbs), il y a un an et l'autre aux States (15 lbs)... Ça ne peut pas être la même batch. Encore une fois : hé bé !
  21. Pas besoin d'élaborer, en effet. Mais j'ai juste une question : as-tu suivi les instructions qu'il y avait dans la boîte ou sur le site de Berkley (Double-Palomar-Knot, lubrification au moment de faire le nœud, le doublage du fil quand on fait un joint avec un leader de nylon et de fluorocarbone, etc.)? Bref, as-tu fait ce qui était recommandé ? Juste curieux. Moi, avec tout ce qui est écrit sur internet, je m'attendais à avoir plein de problèmes... et surprise: pas un seul. Pas même un tout petit. Alors, je suis curieux. Sincèrement.
  22. Ha ha ha ! Steven ! J'ai souvent fait de la 18" (comme à Yamachiche, la semaine passée). Un beau mélange de glace et de neige, c'est facile. Sans problème. Aujourd'hui, il y avait deux ou trois épaisseurs de glace "noire" ou bleues". Transparente. C'était tuff. Pas mal plus qu'à l'habitude. Un jour je te parlerai de mon séjour dans l'Arctique canadien. Des perceuses à moteur avec les trois mèches (ou une seule avec les rallonges) pour pouvoir percer des glaces de 11 pieds (oui, oui, 3,5 mètres). J'te dis qu'à mitaine... Non sérieux, aujourd'hui, entre 18 et 20 pouces, avec différentes densités dont certaines vraiment très compactes, ouch ! Mais comme tu dis : ça donnait chaud. Une chance parce que le un fort vent du nord-ouest nous aurait congelés sur place ! Note : Mon campement est celui qui est tout petit, avec cinq brimbales vertes et deux trous pour le jig. C'est notre voisin qui a vu une cassure grossir en TA... entre sa tente et ses brimbales. Il a passé la journée à sauter par-dessus l'eau. Chez-nous on disait : "Tu parles d'une bande de mailloches!".
  23. Le Nanofil de Berkley, lorsque l'on sait s'en servir correctement, pourrait être le "tout-terrain" idéal pour les 4 saisons du Québec. Exceptionnel en toute circonstance, mais un peu capricieux, il devient pour le pêcheur qui le maîtrise le fil capable d'affronter toutes les conditions de notre climat rigoureux. Pendant huit mois, j'ai testé le Nanofil en été, en automne et en hiver. Désormais, en tout temps, j'aurai deux moulinets avec ce fil, quelque soit la saison. D'abord, quelques mises-au-point. Ce fil "hors-norme" a parfois mauvaise presse dans les "reviews" que l'on retrouve abondamment sur les internets. On lui reproche d'être fragile ou de sectionner d'autres types de fil (des leaders en fluorocarbone, par exemple). On trouve son prix exorbitant (du même ordre que les fils tressés, soit 22-25 $CAN la bobine de 150 verges). C'est le genre de produit qui attire autant les éloges les plus enthousiastes et que les dénonciations les plus virulentes. Il ne laisse personne indifférent. Globalement, j'aime vérifier par moi-même. J'apprécie souvent les produits de Berkley et, lorsqu'ils font l'objet de longues recherches de leur part — ce qui est le cas du Nanofil —, j'ai tendance à tendre l'oreille. Je vous le dis franchement : il mérite pleinement qu'on lui porte attention. Un fil capricieux? Je dépanne souvent des gens avec leur ordinateur ou leur équipement ménager. Mon secret : je lis attentivement les manuels d'instructions. Parfois, avant même d'en avoir livraison. Quand l'appareil arrive chez-moi, ou avant que j'aille "dépanner", j'ai déjà une excellente idée de son fonctionnement général et j'ai une bonne idée de ce que je dois faire. Je ne fais rien d'exceptionnel; je ne suis pas un génie. Je suis patient et je prends le temps de lire. Or, le Nanofil est un produit qui n'a pas de semblables. Il ne ressemble à rien; il est difficile à comparer. Donc, d'abord, qu'est-ce que c'est? Nous sommes en présence d'un fil tressé, mais à un niveau microscopique. Ça donne un tout petit fil, très compact, qui — sur ce point — ressemble au fil tressé que vous connaissez peut-être. Mais au niveau de la texture, on dirait presque qu'il s'agit d'un fil "plastifié" ou "ciré"; ceci bien sûr s'explique par la finesse du tressage. La conséquence immédiate, la voici : ce fil est naturellement imperméable. L'eau ne le pénètre pas. Avantages Le Nanofil est très fin et très résistant. Puissant, même, tout en donnant l'impression qu'il est minuscule. J'ai testé un 10 lbs et un 15 lbs qui, au départ, donne l'impression qu'il ne résistera pas aux mauvais traitements. De plus, comme les fils tressés, il n'a aucun flexibilité. Je suis de ceux qui préfèrent un fil très précis et très sensible à un fil de nylon, par exemple, qui garde une certaine élasticité. Pour moi, c'est franchement un avantage. Comme les tressés, il "n'a pas de mémoire", c'est-à-dire que lorsqu'il se déploie, on ne voit pas la "bobine" dans le fil. Il se lance à merveille et parcourt des distances fabuleuses — ce que les anglophones appellent la "castability". Pour ceux qui veulent couvrir des distances, c'est le fil à essayer. Désavantages Voici ce qu'on lit dans les "reviews" désavantageuses, sur internet. Sa petitesse en fait un fil "coupant" pour les autres fils qu'on serait tenté de relier en "backing line" ou en leader. De plus, il est glissant : si on ne fait pas bien ses nœuds, il peut arriver qu'ils se défassent. Finalement, à un niveau microscopique, si on ne lubrifie pas correctement le fil au moment de faire un nœud, il pourrait se rompre s'il reçoit un coup. Or, ce sont des choses connues du Nanofil, si bien que tant les instructions reçues dans la boîte que le site de Berkley explique COMMENT utiliser l'utiliser en tenant compte de cela. Si on suit les consignes du fabriquant, il n'y aura jamais de problème. Du moins, moi, après 8 mois d'utilisation (été, automne et hiver), je n'ai pas eu à subir une seule rupture. En fait, oui : tous mes leaders ont cédé (flurocarbone ou nylon), sans exception et non pas à la jonction, mais plus bas dans la ligne. Je n'ai pas eu, une seule fois un problème avec ce fil — lorsqu'il est utilisé selon les indications du fabriquant — en près de huit mois. Les supposés défauts du fil n'ont été, pour moi, pas une seule fois vérifiés dans les faits. À ma grande surprise, d'ailleurs. Un fil 4 saisons pour le Québec? À chaque semaine, depuis le mois de juillet dernier, je suis allé à la pêche avec, au moins un moulinet chargé de ce type de fil. Je l'ai utilisé dans toutes les circonstances imaginables. Il n'a pas montré un seul signe de faiblesse... et toujours cette merveilleuse capacité d'atteindre des zones éloignées que l'on croyait inaccessibles. Et quelle précision! Les premières fois, j'étais tellement surpris de voir à quel point mes leurres se rendaient beaucoup plus loin que le nylon, et certainement 15-20% que mon fil tressé préféré. J'arrive tout juste de ma deuxième journée de pêche sur la glace. C'est une curieuse note à même le site de Berkley qui m'a mis sur cette piste. À l'article sur les fils pour la pêche sur la glace, on signale que le Nanofil est parfait pour l'hiver aussi, étant donné que l'eau ne le pénètre pas. Voici ma conclusion : c'est exact. Il est aussi pratique et anti-abrasif qu'un fil de nylon régulier, sans souffrir apparemment le moindrement de l'hiver, de son eau glacée ou de la glace. L'eau perle sur ce fil. C'est le premier fil que j'utilise qui me plaît quasi-parfaitement en toute saison. Rien, pour moi, ne s'y compare. Le "bottom line" Pour celui ou celle qui recherche un fil de qualité, utilisable en toute saison, même au Québec et ses écarts de température qui font souffrir les concurrents, il est possible que le Nanofil de Berkley puisse satisfaire vos exigences. Utilisé selon les consignes du fabricant, surtout en ce qui a trait à la lubrification, la jonction avec un autre fil et la pose d'hameçon, il s'en sort de manière admirable. C'est vraiment un fil unique. Plus cher que la moyenne, il remplit toutes ses promesses, et même plus! Je l'ai adopté pour mes deux moulinets "tout terrain"; je sais que je ne serai jamais pris au dépourvu.
  24. Vraiment dommage pour la glace du côté de Batiscan. Aujourd'hui, à Ste-Angèle, une glace de 18 pouces ! Ça fait aller le bicep, croyez-moi (tarière manuelle). Un de nos voisins a eu pitié de nous, il est venu nous ouvrir 3 trous de plus avec ça vieille patente à moteur. Un beau grand trou de 10 pouces. Je reste connecté.
  25. Réjean: dans quel coin seras-tu?
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