Perdre le nord, non. Perdre mes chances et la confiance, oui.Cet hiver, nous étions au camp et je suis parti faire un tour de ski-doo, seul. Mon père m'avais bien annoncé de revenir pour 5 heures TAPANT. Donc, je roulais dans le chemin, mais il y avait un 4 roue avec chenilles qui avait rouler avant moi. Je ne voulais pas rouler tout croche dedans, je me suis tassé pour rouler accoté, mais le ski doo a slider dans le fossé. J'avais le goût de brayer. J'etait pas loin du chalet, 45 min avec un pas rapide, mais laisser le ski doo là, non. Ça m'a pris deux heures pour le sortir, deux heures à forcer en malade (tu dois ben savoir de quoi je parle, t'as l'air très expérimenté en matière de foret. J'ai sorti le ski doo pile à 6 heures, juste comme la noirceur c'était installée. Comme tu dis, ça fait des histoires à conté et ça fait rire les mononcs. Mais reste que mon père et ma mère stressait au camp, j'avais rien pour leur dire moi!