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819-proteck

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    Homme
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    Shawinigan Falls
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    N'importe quoi, sauf la pêche

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Maître Samouraï de la Pêche

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  1. si je posais cette question a misssstassiniman c'est qui la comprend. pour BMW, il y a la fonction de lever les vitres , si les portes sont barrées et que le véhicule ne bougent pas selon le temps donné a l'ordi de bord. Ca m'était arrivé au LSP , mais je n'avais pas coché cette option dans le tableau de bord, donc la vitre était baissée a mon retour. pour les portes, avec les clés intelligentes, il s'agit de les programmer afin que les portes barrent ou débarrent rendus a 15 pieds du vÉhicule. pomal tous les V"A ont cette option asteure
  2. Est ce que ce model, a l'option de fermer les portes et les verrouiller, lorsque tu oublies de le faire avant de partir pour une journée de pêche?? signé, un curieux
  3. donc, tu as fais une belle pêche aujourd,hui?? L'air frais et polluée , éclaircie les idées en plus.. 7-iles et shawinigan ont une qualité d,air ben meilleure que mourrial
  4. ohhhh que si tous ces articles pouvaient parler, et bien il y en aurait des histoires de chasse et pêche faaabuleuseees. Histoires qui nous manquent surement a un bon nombre de membres ici
  5. Je vois ca comme de planifier jeune, un bon fond de retraite pour ton futur.. Bravo pour tes projets, en espérant que tu n'auras pas de locataires un jour dit indésirables, mais c'est un risque a prendre.
  6. ben de kossé qui te plait pas icitte?? Un vote rouge, est une remarque négative sur tes commentaires négatifs tout simplement..
  7. tiré du quotidien le nouvelliste du 25 mars 2024 «Peu importe notre couleur de peau ou notre origine, on ne peut se faire justice soi-même au Québec. Les lois doivent être appliquées pour tout le monde, à moins qu’on ne dise qu’il y a deux lois. Si on me répond oui, on s’en vient avec une république de bananes.» Le maire de La Tuque, Luc Martel, est exaspéré de l’inaction du gouvernement du Québec et de la Sûreté du Québec concernant le blocus autochtone en Haute-Mauricie qui «se répète constamment depuis un an». Il exige que la lumière soit faite sur la gestion de ce dossier par les autorités et demande même qu’une enquête publique soit déclenchée. «Personne n’a le courage d’agir pour régler le problème. Les inondations, les feux de forêt, même si ç'a fait mal à notre économie, on doit vivre avec parce qu’on n’a aucun contrôle, mais trois blocus sur un chemin forestier en moins d’un an, ça n’a aucun sens. Surtout qu’on parle d’un individu qui se fait justice lui-même au Québec», a-t-il lancé. (Audrey Tremblay, Le Nouvelliste) «Est-ce que Québec attend que ça dégénère avant d’agir. Est-ce qu’ils attendent que ça fasse comme à Ottawa et qu’on perde le contrôle», se questionne-t-il ouvertement. Plus le temps avance, plus les impacts se feront sentir sur l’industrie forestière de toute la région et même sur la saison touristique, déplore le maire Martel. «On a des usines sur le point de fermer et des travailleurs qui vont perdre leur job. […] La présence de cet individu sur la route 25, ça intimide les villégiateurs et les touristes. Il y a des annulations dans les pourvoiries», dénonce-t-il. Luc Martel assure avoir fait son chemin de Compostelle depuis un an alors qu’il a cogné à de nombreuses portes et multiplié les discussions avec les députés, ministères, chefs de cabinet et la Sûreté du Québec. Il réclame que la loi soit appliquée et qu’on démantèle ce blocus. «Quand je parle à la Sûreté du Québec, je me fais dire que les ordres viennent d’en haut et qu’on ne peut rien faire. Quand je parle au gouvernement, on me dit que c’est un dossier de la Sûreté du Québec que c’est à eux de le régler. Ça tourne en rond et il n’y a plus rien qui se passe. Il y a clairement quelqu’un quelque part qui bloque le processus», insiste le maire de La Tuque. «Ce n’est pas la Ville qui peut mettre un terme au blocus. Comme on n’est pas capable de régler la situation, on a décidé de la dénoncer publiquement à nos dirigeants. On veut que la population soit au courant de ce qu’il se passe […] On voit aussi des gens avec des idées extrémistes qui se joignent au blocus», ajoute-t-il. Le maire dénonce d’ailleurs que quiconque bloquerait la route 155 se ferait arrêter dans les minutes qui suivent alors «qu’on laisse un individu faire la pluie et le beau temps en forêt». «Ce blocus prend toute une région en otage et on ne fait rien. C’est complètement aberrant.» — Luc Martel, maire de La Tuque «Ça me dépasse. On espère que notre cri d’alarme soit entendu [...] J’espère que quelqu’un a le pouvoir, mais surtout le courage de régler cette situation avant qu’il ne soit trop tard pour nos travailleurs. Ça presse», martèle-t-il. Rappelons que des individus mènent actuellement un blocus au kilomètre 104 de la route forestière 25 dans le secteur de Wemotaci. Ceux-ci revendiquent toujours pour que leurs droits et leurs intérêts soient pris en compte. La Ville de La Tuque n’arrive pas à cerner exactement les revendications reliées au blocus parce qu’elles seraient changeantes, selon le maire. «Un jour, il veut voir le premier ministre du Québec, la semaine d’après c’est le premier ministre du Canada, après ça, il veut avoir du territoire… Ses demandes changent toutes les semaines», note M. Martel qui rappelle qu’il n’y a aucune animosité avec le Conseil des Atikamekw de Wemotaci et le Conseil de la nation atikamekw. «On suit ça de près» La députée de Laviolette–Saint-Maurice, Marie-Louise Tardif, assure suivre la situation de près avec la Ville et l’industrie forestière, mais souligne également qu’il n’y a actuellement «aucun voyage de bois longs qui a été arrêté» et que «les travailleurs sont au travail». «On travaille sur le dossier depuis plusieurs mois, plusieurs semaines. On ne laissera pas un individu gérer l’économie d’une région, c’est certain. Il va se passer quelque chose, mais là, concrètement sur le terrain, il n’y a pas eu d’arrêt», note la députée qui souligne tout de même au passage que la situation est inacceptable. «Ce n’est pas la bonne façon de revendiquer et il va falloir qu’il le comprenne. […] Les négociations qu’il doit entreprendre, c’est avec le Conseil de bande.» — Marie-Louise Tardif La députée émet quand même un bémol sur le portrait «alarmiste» dressé par certains intervenants dans ce dossier. «L’industrie forestière ne manque pas de bois actuellement. Les travailleurs forestiers sont dans les usines. Il ne faut pas faire peur au monde», nuance-t-elle. Elle assure par ailleurs comprendre l’intervention du maire qui souhaite le démantèlement du blocus et la protection de l’industrie forestière. «Présentement, on ne peut pas arrêter quelqu’un qui est sur le bord du bois et qui reste là sur un territoire autochtone. On ne peut pas arrêter quelqu’un sur le bord du bois avec trois branches. Chose certaine, on est au fait du dossier et on ne laissera pas les choses se détériorer», a-t-elle ajouté. Assurer la paix et l’ordre À la Sûreté du Québec, on indique que comme dans tout conflit comportant des possibilités de débordements, elle a le devoir «d’assurer la paix et l’ordre et d’intervenir dans le cas où des infractions criminelles seraient commises». «De ce fait, la SQ interviendra en conformité avec son mandat. Nos interventions visent uniquement à protéger la vie et la propriété et d’assurer à chacun le libre exercice de ses droits individuels ou collectifs», souligne la SQ. Wemotaci demande la levée du blocus Le Conseil de Wemotaci a lancé un appel au calme par voie de communiqué et demande la levée du blocus. Les élus se disent très préoccupés par les agissements et les actions entrepris par des dissidents qui maintiennent un blocus de façon récurrente au kilomètre 104 sur la route 25. On indique que les membres de Wemotaci sont à la fois inquiets et exaspérés de cette situation et veulent que ces dissidents cessent leurs actions afin d’éviter une escalade de violence. «Cette crise soulève un climat d’insécurité auprès des membres de la communauté et provoque un climat d’incertitude auprès des travailleurs forestiers. Nous vous rappelons que plusieurs membres de Wemotaci travaillent dans l’industrie forestière», souligne le Conseil. Ce dernier réitère qu’il préconise le dialogue et la continuité des travaux entamée par différentes tables de discussion et de négociation. On a également fait savoir qu’un rassemblement en territoire serait organisé ce printemps afin de discuter des enjeux territoriaux, de la gouvernance et de la reconnaissance des instances traditionnelles atikamekw. Il n’a pas été possible de parler avec un représentant de Rémabec, lundi.
  8. et puis?? certains ont vue des aurores boréales hier soir ou ste nuite? NIET de mon coté , meme pas en ce moment ou j'écris.. Et je suggère un traité, pas style la paix des braves, mais la paix des citadins, entre les gens de Mourrial et 7-iles
  9. ben non, je ne te cherche pas pantoute, mais tout comme moi tu es un pince sans rire et picosseux... voila je te fais un gros calin avant de fermer ici.. a demain
  10. bon ben, fermez vos ordis et tablettes, éteignez vos lumieres, et regardez les aurores boréales ce soir vers le nord.. tourlou
  11. enfin, les érables coulent, et les claviers dégèlent. Merci a Mouche001 d'avoir provoqué une belle discussion
  12. les acheteurs les plus crédibles et sérieux, sont ceux qui pour leur travail sont a l'extérieur du pays, mais qu,ils vont t'envoyer un transporteur pour prendre possession de ton bien, et encore mieux ils te fourrent ( paient) avec une traite bancaire avec un surplus et que l'imbécile vendeur leur rembourse la différence, pour se rendre compte que............ ahhhh pis laissez donc faire
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