Les Hurons veulent gérer aussi la réserve faunique de Portneuf

[Jos Bush]

MOUCHE 001:

En passant : Les Hurons-Wendat me font littéralement c*hier lorsqu'ils parlent de certaines portions du Québec comme de leur «territoire ancestral» : les «Blancs» y étaient installés AVANT eux! Et ce sont les missionnaires Jésuites dans la bourgade huronne de Sault-Sainte-Marie, sur le grand lac Huron de l'Ontario, qui ont réellement sauvé les Hurons-Wendat de l'extinction parce que ces autochtones étaient continuellement massacrés par des Iroquois! Les Hurons-Wendat devraient se garder une petite gêne vis-à-vis des Québécois!

Rep:  Pourriez vous nous indiquer vos références sur 'installation des blancs avant le 17 siecle (avant l'an 1600) ?

La négation du territoire ancestrale est normal. Je comprend votre peur. Elle est légitime.

Cartier rencontre un chef à Gaspé: Thonnakona, chef de Stadacone (Québec) 

Les Iroquoiens du St-Laurent de Stadacone sont le peuple le plus à l’est des peuples Haudenosaunee ( peuple de la maison longue) ayant la culture et le mode de vie iroquois. Faisant la culture du Maïs courge et fève mais aussi la pêche au filet, d’ou la nation de la corde ( Attignaenongnehac). Celle-ci, incluse dans la grande confédération Wendat avec plusieurs autres nations dont l’épicentre de contrôle du commerce est établi en Ontario.

Les Wendats ( confédérer bien avant l’arrivée des européens) reconnus comme le peuple du commerce, étendent leurs ramifications commerciales jusqu’à près de 1000km dans chaque direction ( Nord- Sud-Est-Ouest)

Un poste de contrôle établi le plus à l’est ( à Stadacone (Québec) dont le chef est Thonnakona et dont la ville de Donnacona porte son nom) par la nation de la corde maintient l’accès et garde l’entrée commerciale par le fleuve St Laurent. Ceux-ci sont établis dans les bourgades autochtones de Quebec dont Sitadin, Tequenonday, Achelacy, Tailla, Starnatam.

Source: http://www.pc.gc.ca/fra/lhn-nhs/qc/cartierbrebeuf/natcul/natcul5.aspx

https://www.pc.gc.ca/fr/lhn-nhs/qc/cartierbrebeuf/culture/autochtone-indigenous/natcul6

Ce chef que Cartier rencontre en Gaspesie en 1534 est en échange commercial avec les nations MigMag car la nation de la corde etablis des alliances et effectue la pêche durant la saison estivale jusqu’à l'arrivée des premieres récoltes et retourne donc dans leur village de Stadaconé (septembre/Octobre). L'hiver, c'est la chasse au grand gibier car plus facile a capturer dans la neige et la fourrure est à son meilleur.

 

À leur retour a Stadacone, sachant l’arrivée des Européens imminente et le retour de Cartier en 1535 sans les fils de Thonnakona, (Capturer par Cartier qui ne respectant pas ses paroles, dépasse les limites du poste de garde de Stadacone garder par la nations de la corde) et fait fit des recommandations de ceux-ci, 

N’en fallait-il pas plus pour cette nation de quitter Québec afin de protéger les femmes et les enfants? Debut de maladies chez ceux-ci? Début des guerres iroquoiennes?

L' Exode de la nation de la Corde Attignaenongnehac ( de Québec (Stadacone) vers l’ouest, en Ontario vers le centre de la grande Confédération Wendat et surtout voyant l'honnêteté de Cartier en capturant les fils de Tonhankonha?

Champlain arrive 70ans plus tard et les Iroquoiens du St Laurent ont disparus.

Néanmoins le retrait n’était peut-être pas total. L’exode des membres de la nation de la corde vers l’épicentre commerciale de la confédération Wendat en Ontario laisse quelques membres

( Soldat/ guerriers) en poste d’avant garde à quelque endroit dont Québec(Stadacone), Trois-Rivieres et possiblement Montreal (Hochelaga). 

Tout n’est pas blanc ou noir. L’histoire qui vous est raconté est l’histoire du colonisateur et votre négation est compréhensible.   Vos commentaires désobligeants peuvent être justifiables par 400 ans d’éducation erroné de vos ancêtres par la religion catholique. Néanmoins je me questionne sur vos véritable peur, de quoi avez vous si peur pour créer la mésentente?? La perte? Le manque? La liberté?...

Votre système et vos gouvernement créent déjà assez de mésententes entre nos peuples, il n'est pas nécessaire d'en rajouter. Nous devrions travailler tous ensemble afin que nos enfants et petit enfants et même nous tous puissiont continuer à se nourrir de la meilleur viande qui soient sans être obliger de se déplacer sur des centaines de kilomètres parcque nous n'avons pas été assez intelligent pour sauvegarder la ressource local.

 

PROCLAMATION ROYAL

«Toute terre qui ne sera céder a la couronne reste une terre autochtone. »

Ce n’est pas moi qui le dit: c’est leur propos écrit dans la proclamation royale dans les alliances d’autrefois. De nos jours la parole ne semble plus être un signe d'honnêteté contrairement à nos ancêtres communs. Votre système a créer des contrats, des papiers, des documents a signer. Ce n'est pas nous qui avons créer cela, c'est votre système et nous devons utiliser ce qui a vos yeux fait foi de contrats. La proclamation royale est une entente qui est valider par votre système de la cour suprême, ce n'est pas nos méthodes. Ce sont les votres. Elles nous sont imposées. Alors nous devons utiliser ce qui a vos yeux est validé par votre système. Désolé mais c'est vous qui avez choisi ce système. Si cela nous vous convient pas, faite ce qui vous semble juste.

 

Commission d’enquête sur les Autochtones et certains services publiques.

M. Serge Bouchard Ph. D.  Doctorat en Anthropologie

Ref: Proclamation Royal de 1763

Document reconnu légalement en droit par la loi constitutionnelle de 1982.

 

« Attendu qu’il est juste, raisonnable et essentiel pour Notre intérêt et la sécurité de Nos colonies de prendre des mesures pour assurer aux nations ou tribus sauvages qui sont en relations avec Nous et qui vivent sous Notre protection, la possession entière et paisible des parties de Nos possessions et territoires qui ont été ni concédées ni achetées et ont été réservées pour ces tribus ou quelques-unes d’entre elles comme territoires de chasse […]. »

 

La Proclamation royale est mentionnée à l’article 25 de la Loi constitutionnelle de 1982 (voir aussi Loi constitutionnelle de 1982 : document). Cet article stipule que rien ne peut, dans la Charte des droits et libertés canadienne, diminuer les droits et libertés que la Proclamation royale reconnaît aux peuples autochtones. Il garantit aussi que l’interprétation des termes de sa proclamation continuera pendant longtemps d’être une donnée importante pour les tentatives visant à clarifier la portée exacte des droits des Autochtones dans la loi canadienne.

 

Les vieilles querelles sont désormais inutiles. Les détails se régleront plus tard, nous n’en sommes pas encore rendu là.

Ils n’est plus question de savoir a qui la terre appartient mais bien de sauvegarder ce qui reste.

 

https://www.cerp.gouv.qc.ca/index.php?id=57&L=56&tx_cspqaudiences_audiences[audiences]=23&tx_cspqaudiences_audiences[action]=show&tx_cspqaudiences_audiences[controller]=Audiences&cHash=dde3e0d131a16e46d8ca6427de21aec3

 

Nous demandons simplement d’avoir un peu plus que nos réserve avec 1km carré/habitants. Nous voulons simplement avoir assez de superficie pour subvenir a nos besoins alimentaires selon notre nation.

Cela implique notre lien avec les ressources, et la gestion de nos territoires car c’est eux qui ont décidés de créer ces inégalités depuis plus de 300  ans, que dorenavant tout fonctionnerait comme ils l’ont dit et imposé dans le seul but de faire du profits.

 

Avec le territoire, nous nourrirons nos famille, nos enfants et petits enfants. Nous pourrons créer de l’emplois.  Sans territoire, nous continuons à vivre au crochet de VOTRE système. 

Nous voulons vivre aussi, pas seulement sur 2% du territoire du Canada avec des lois et un système qui ne nous convient pas. 

Nous avions nos systèmes de gouvernance avant. Ils ne veulent pas qu’ils soient reconnus selon nos termes. Nos termes c’est la Vie, non pas juste le profit$.

Nous voulons vivre sur les territoires sans vous achaler, vous tanner et vous écœurer. Est-ce difficile a comprendre?

Après tout cela, nous pourrons vivre chacun de notre côté...si vous le voulez et vous n’entendrez plus parler de nous. Sachez que vous serez tout de même accueillis chez nous comme nous vous avons accueilli à l’origine. 

Sachez que nous vous respecterons dans la mesure ou vous nous respectez.

Sachez que si ce système ne vous convient pas, vous êtes bienvenu dans le nôtre et pour cela, apprenez comment nos systèmes fonctionnaient. Mais je serai curieux de savoir combien d'entre vous échangerais votre place avec un NINDIEN.

 

Je vous suggère de prendre connaissance de ce documents tres pertinent. Il est tout de même assez volumineux. Vous trouverez des références sur les taxes, l'impôt, des lois discriminatoires L’histoire doit être ré-écrite. Ca commence par l’éducation. Avec le courage de vos ancêtres qui ont bravés les conditions ardus du Kanata (Canada), esperons que ce documents vous permettra d'ouvrir votre vision sur notre situation avec bonne foi, compréhension et cooperation pour le futur de tous nos enfants.  

 

https://www.autochtones.gouv.qc.ca/publications_documentation/publications/mythes-realites-autochtones.pdf

 

 

 

https://www.cerp.gouv.qc.ca/index.php?id=57&L=56&tx_cspqaudiences_audiences[audiences]=23&tx_cspqaudiences_audiences[action]=show&tx_cspqaudiences_audiences[controller]=Audiences&cHash=dde3e0d131a16e46d8ca6427de21aec3

Modifié Janvier 24, 2022 par Jos Bush

[Jos Bush]

Une approche de gestion collaborative plutôt qu’un moratoire sur la chasse à l’orignal

Québec, le 18 janvier 2022 – À la suite de la demande de moratoire sur la chasse à l’orignal formulée par les Autochtones dans la réserve faunique de Portneuf, la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs (FédéCP) demande à ce que la gestion de l’orignal se fasse équitablement pour les chasseurs autochtones et non autochtones.

Rep: oui je suis d'acord avec vos propos. Une Gestion équitable pour tous les chasseurs. C'est notre but a tous. Car jusqu’à maintenant la gestion, et gestion est un grand mot, celle-ci n'est effectivement pas équitable. Cette Gestion est effectuée en majeur partie par des organisations non-autochtone, et cette gestion est déficiente à plusieurs niveaux des ressources, autant biologique que les ressources forestieres gérer par le departement des resources naturelles, faunes et Parc. Une entité, a ma connaissance, majoritairement non-autochtones.

La FédéCP soutient qu’un moratoire est une mesure de dernier recours, qui risque de créer des tensions entre Autochtones et non-Autochtones, en plus de représenter un pas de géant vers l’arrière dans le processus de gestion rigoureux mis en place par le ministère responsable de la faune dans les années 90. 

Rep: Les données récoltées, par toutes les parties non-corrompues au chantage financier, permettront de déterminer si le moratoire est une mesure de dernier recours. Neanmoins, si la question du moratoire est apporter, c'est qu'a mon avis, nous en sommes rendus à cette situation en constatant l'échec de la gestion actuelle et passée. Je ne crois pas que cela pourrait créer des tensions additionnelles, à moins bien sure que certains préferent cette avenue.  Le terme rigoureux dans la gestion n'est peut-être pas le terme le plus approprié.

Les outils de gestion des populations en place doivent d’abord être bonifiés par la contribution des nations autochtones présentes sur le territoire. Des processus démocratiques et scientifiques qui ont fait leurs preuves sont en place pour encadrer la chasse sportive sur l’ensemble du territoire québécois ; la population d’orignaux a doublé au cours des 30 dernières années au Québec. 

Rep: Votre propos est juste sur la contribution déficiente des nations autochtones depuis maintes années. Néanmoins, des sources de données sur l'augmentation de la population d'orignaux à l'effet que celle-ci a doublé sur l'ensemble du territoires serait apprécié.

Après une telle montée, il est probable que la population d’orignaux ait atteint une limite et que les indicateurs montrent une densité de population à la baisse. Les habitats subissent des changements que les chasseurs doivent prendre en compte pour assurer la pérennité de leur activité. Par exemple, le ralentissement de l’exploitation forestière fait diminuer la quantité de nourriture disponible pour les orignaux, ces derniers profitant plutôt des forêts en régénérescence à la suite des coupes forestières. La FédéCP appuie les nations autochtones dans leur volonté d’agir pour préserver une population d’orignaux en équilibre avec la capacité de support de son habitat.

Rep: merci de votre ouverture en appuie aux nations autochtones. Néanmoins, je percois difficilement un ralentissement de l'exploitation forestière. Il serait intéressant que des données soit disponibles afin de vérifier l'impact des coupes et de la régénérescence  sur la nourriture disponible pour les orignaux dans les multiples lieux oû cela s'éffectue. La qualité et la disponibilité de données véridique et non-biaisé pour satisfaire les besoins d'une véritable concertation devra aussi être analysées afin de prendre les décisions appropriés dans l'intérêt de tous. Mais la situation actuelle sur la question de la réserve de Portneuf devra être aborder dans les plus brefs délais. Nous ne pouvons, collectivement, se permettre d'attendre la récolte des données durant plusieurs années, sur un processus qui aurait normalement déjà dû être actualiser dans une compilation régulière annuelle.

Solution

Le redressement de la situation devra se faire selon un plan conjoint où tous les acteurs s’entendront sur les moyens de récolter les données scientifiques, sur les indicateurs à prendre en compte et sur les modalités à appliquer pour réglementer la chasse. Pour en arriver là, tous les chasseurs des territoires concernés devront fournir des statistiques de récoltes précises.

Rep: Un plan conjoint est justement une des avenues à prendre en considération principale. La Gestion des statistiques des récoltes est déjà en place pour les autochtones et non-autochtones.

Une situation à éviter

Exclure les chasseurs non autochtones des territoires n’est pas une avenue à prendre. Un précédent a été créé dans la réserve faunique La Vérendrye l’automne dernier, et plus récemment dans la zone 17, où les chasseurs non autochtones n’ont plus de droit de chasse. Cette façon de procéder fait non seulement porter le blâme aux chasseurs non autochtones pour la baisse d’un cheptel, mais ne consiste pas en une solution de gestion appropriée à long terme. Un partage de la ressource et de la responsabilité est primordial pour assurer la conservation des populations d’orignaux. 

Rep:  Entierement d'accord qu'exclure les chasseurs non autochtones des territoire n'est pas une avenue à prendre. La question n'est pas celle-là, mais bien que pouvons nous faire collectivement tous ensemble pour sauvegardé ce qui a été négligé jusqu’à nos jours. Ce moratoire n'est pas une exclusion des territoires autochtones. Nous parlons dans ce cas précis de la réserve de Portneuf et non pas de toutes les réserves et parc fauniques. Une nuance à considérer.  La situation du parc de la Vérandrye démontre le résultat de la gestion actuelle deficiente depuis trop longtemps par une seule partie.

 

À propos de la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs

La Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs (www.fedecp.com) est un organisme sans but lucratif fondé en 1946 qui représente 125 000 membres. Sa mission est de représenter et de défendre les intérêts des chasseurs et pêcheurs du Québec, de contribuer à l’éducation sur les pratiques sécuritaires et de participer activement à la conservation et à la mise en valeur de la faune afin d’assurer la pérennité des ressources et la perpétuation de la chasse et de la pêche comme activités traditionnelles, patrimoniales et récréatives. 

Rep: La mission que vous vous etes donné concorde en tout lieu avec notre approche de participer activement à la conservation et la mise en valeur de la faune afin d'assurer la pérennité des ressources et la perpétuation de la chasse et de la pêche comme activités traditionnelles, patrimoniales et récréatives. 

En Espérant un dénouement rapide dans la situation actuelle. Merci de votre collaboration