Mouche001 Posté(e) Août 9, 2021 Signaler Share Posté(e) Août 9, 2021 (modifié) Salut! Pour votre information : Le Camp Bonaventure exige la fermeture du site le Malin TVA – Baie-des-Chaleurs (Gaspésie) - Le 6 août 2021 - Par: Patrick Giguère Le Camp Bonaventure, propriétaire de la bande située en bordure du site Malin, s’adresse au tribunal. L’organisation souhaite forcer l’arrêt de l’exploitation de la berge, en bordure de la rivière Bonaventure. Un enjeu de sécurité publique est évoqué. N’ayant pu trouver un terrain d’entente avec Michel Bourdages, le propriétaire du Malin depuis 2006, sur la limite de personnes pouvant fréquenter la plage cet été, la pourvoirie s’adresse à la Cour supérieure pour faire fermer le site. Dans la demande introductive d’instance en injonction provisoire, l’avocat de la partie demanderesse Me William Assels a répété à de nombreuses reprises qu’il y a une augmentation monstre de l’achalandage, ce qui accentue les risques d’accident. L’absence de sauveteurs, d’assistants-sauveteurs et de chaise de surveillance a été évoquée et inquiète au plus haut point le Camp Bonaventure. Pour confirmer les craintes de son client, le tribunal a pu visionner des vidéos, tournées en début d’été, montrant des utilisateurs d’embarcations nautiques chavirer à l’approche des rapides de force R2, alors que des personnes se trouvaient à proximité dans l’eau. Il ne semble pas avoir de surveillants ou sauveteurs. Pour ces raisons, on exige à l’exploitant de cesser d’exploiter le terrain, de démanteler les installations et arrêter de faire la promotion de cet endroit pittoresque et mythique de la région. En 2019, 11 680 personnes ont fréquenté le site contre 18 000 en 2020. On n’a rapporté aucun blessé grave ou décès a répliqué Me Hugo Saint-Laurent, l’avocat de Michel Bourdages. Depuis le 9 juillet, en étroite collaboration avec Cime Aventures, des agents de signalisation avec des compétences de sauvetage diversité, sont sur place en tout temps lors des heures d’ouverture. Un système a été mis en place avec l’entreprise récréotouristique pour avertir les baigneurs de libérer le cours d’eau lorsqu’il y a des embarcations qui se dirigent vers l’endroit. S’il accepte la demande d’injonction, le juge Benoît Moulin s’est questionné comment le Camp Bonaventure s’assurerait de la sécurité de l’endroit, ce qui au cœur des préoccupations, alors que les utilisateurs de CIME continueront à naviguer sur le plan d’eau et les locaux pourront tout de même s’y rendre par leur propre moyen. Me Assels a assuré que des clôtures, pancartes et que des agents de sécurité seraient embauchés. Le juge Benoît Moulin a pris la cause en délibéré et devrait rendre sa décision incessamment Modifié Août 9, 2021 par Mouche001 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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